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Mis à jour: 12 octobre 2025
Et vous dévoriez ma maison, et vous couchiez de force avec mes servantes, et, moi vivant, vous recherchiez ma femme, ne redoutant ni les dieux qui habitent le large Ouranos, ni le blâme des hommes qui viendront! Maintenant, les kères de la mort vont vous saisir tous!
Mais, alors, une querelle terrible s'éleva parmi les autres dieux, et leur esprit leur inspira des pensées ennemies. Et ils coururent les uns sur les autres; et la terre large rendit un son immense; et, au-dessus, le grand Ouranos retentit. Et Zeus, assis sur l'Olympos, se mit
Elle parla ainsi, et, lui répondant aussitôt, je dis: Je te dirai avec vérité, qui que tu sois entre les déesses, que je ne reste point volontairement ici; mais je dois avoir offensé les Immortels qui habitent le large Ouranos. Dis-moi donc, car les dieux savent tout, quel est celui des immortels qui me retarde en route et qui s'oppose
Et celui-ci délibérait, ne sachant s'il supplierait la vierge aux beaux yeux, en saisissant ses genoux, ou s'il la prierait de loin, avec des paroles flatteuses, de lui donner des vêtements et de lui montrer la ville. Et il vit qu'il valait mieux la supplier de loin par des paroles flatteuses, de peur que, s'il saisissait ses genoux, la s'irritât dans son esprit. Et, aussitôt, il lui adressa la vierge ce discours flatteur et adroit: Je te supplie, ô reine, que tu sois déesse ou mortelle! si tu es déesse, de celles qui habitent le large Ouranos, tu me sembles Artémis, fille du grand Zeus, par la beauté, la stature et la grâce; si tu es une des mortelles qui habitent sur la terre, trois fois heureux ton père et ta mère vénérable! trois fois heureux tes frères! Sans doute leur âme est pleine de joie devant ta grâce, quand ils te voient te mêler aux choeurs dansants! Mais plus heureux entre tous celui qui, te comblant de présents d'hyménée, te conduira dans sa demeure! Jamais, en effet, je n'ai vu de mes yeux un homme aussi beau, ni une femme aussi belle, et je suis saisi d'admiration. Une fois,
Et j'y placerai moi-même du pain, de l'eau et du vin rouge qui satisferont ta faim, et je te donnerai des vêtements, et je t'enverrai un vent propice afin que tu parviennes sain et sauf dans la terre de la patrie, si les dieux le veulent ainsi qui habitent le large Ouranos et qui sont plus puissants que moi par l'intelligence et la sagesse.
Et Zeus qui amasse les nuées, lui répondant, parla ainsi: Mon enfant, quelle parole s'est échappée d'entre tes dents? Comment pourrais-je oublier le divin Odysseus, qui, par l'intelligence, est au-dessus de tous les hommes, et qui offrait le plus de sacrifices aux Dieux qui vivent toujours et qui habitent le large Ouranos? Mais Poseidaôn qui entoure la terre est constamment irrité
Et Akhilleus, arrachant de la gaîne son épée aiguë, se rua avec un cri terrible. Et Ainéias saisit un lourd rocher, tel que deux hommes de maintenant ne pourraient le porter; mais il le remuait aisément. Alors, Ainéias eût frappé Akhilleus, qui se ruait, soit au casque, soit au bouclier qui le préservait de la mort, et le Pèléide, avec l'épée, lui eût arraché l'âme, si Poseidaôn qui ébranle la terre ne s'en fût aperçu. Et aussitôt, il dit, au milieu des dieux immortels: Hélas! je gémis sur le magnanime Ainéias, qui va descendre chez Aidès, dompté par le Pèléide. L'archer Apollôn a persuadé l'insensé et ne le sauvera point. Mais, innocent qu'il est, pourquoi subirait-il les maux mérités par d'autres? N'a-t-il point toujours offert des présents agréables aux dieux qui habitent le large Ouranos? Allons! sauvons-le de la mort, de peur que le Kronide ne s'irrite si Akhilleus le tue. Sa destinée est de survivre, afin que la race de Dardanos ne périsse point, lui que le Kronide a le plus aimé parmi tous les enfants que lui ont donnés les femmes mortelles. Le Kroniôn est plein de haine pour la race de Priamos. La force d'Ainéias commandera sur les Troiens, et les fils de ses fils régneront, et ceux qui naîtront dans les temps
Il parla ainsi, et chacun marqua son signe, et tous furent mêlés dans le casque de l'Atréide Agamemnôn. Et les peuples priaient, élevant les mains vers les dieux, et chacun disait, regardant le large Ouranos: Père Zeus, fais sortir le signe d'Aias, ou du fils de Tydeus, ou du roi de la très riche Mykènè!
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