Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 23 juin 2025
Cf. S. Anselm. Op., ep. xxxv et xli, I. II. Ott. Frising., de Gest. Frid., I. I, c. xlviii. D'Achery, Spicileg., t. III, p. 142. Buddoeus, Observ. select., t. I; obs. xv. Brucker, Hist. crit. phil., t.
Enfin, Masséna commandait l'armée d'Italie, réfugiée dans le pays de Gênes, et soutenait avec acharnement le siège de la capitale de ce pays, bloquée du côté de la terre par le général autrichien Ott, et du côté de la mer par l'amiral Keith.
Il était en effet dans une situation extraordinairement grave. Sur 120 mille hommes, il en avait perdu au moins 25 mille devant Gênes et le Var. Ceux qui lui restaient se trouvaient dispersés: le général Ott avec 30 mille hommes était devant Gênes; le général Elsnitz, avec 25 mille, devant le pont du Var; le général Kaim, chargé de garder les débouchés de Suze et Pignerol, avec une douzaine de mille hommes, avait perdu Suze, et se retirait sur Turin. Le général Haddick, qui, avec 9 mille hommes
Le général Ott lui avait envoyé un parlementaire, car les Autrichiens n'étaient pas moins pressés d'en finir que les Français. Ce général avait, en effet, les ordres les plus positifs de lever le siège de Gênes, pour se replier sur Alexandrie. Ces offres de l'ennemi, ont dit quelques historiens, devaient éclairer Masséna.
Le même jour, Ott, avec la gauche, déboucha par trois colonnes sur Miollis; celle de gauche, le long de la mer, celle du centre par Monte-Cornua, celle de droite par le col de Toriglio: il fut partout vainqueur; occupa le Monte-Faccio, le Monte-Ratti, et investit les trois forts de Quezzi, de Richelieu et de San-Tecla; il établit le feu de ses bivouacs
Depuis plus d'un mois, l'amiral anglais et le général Ott avaient fait proposer une entrevue au général Masséna, qui s'y était toujours refusé; mais enfin, dominé par les circonstances, il fit dire
Trois torrens, coulant parallèlement de l'Apennin dans le Pô, formaient le champ de bataille: c'étaient la Nura, la Trebbia et le Tidone. Le gros de l'armée française était encore sur la Nura; les divisions Victor, Dombrowsky et Rusca s'avançaient sur la Trebbia, et avaient l'ordre de la franchir pour se porter sur le Tidone, afin d'accabler Ott, que Macdonald croyait sans appui. Elles marchèrent le 29 prairial (17 juin). Elles repoussèrent d'abord l'avant-garde du général Ott des bords du Tidone, et l'obligèrent
Wurmser divisa son armée en quatre colonnes principales, de la manière suivante: la première, sous les ordres du lieutenant général Quasdanovich, formait l'aile droite; se divisant elle-même en quatre brigades commandées par les généraux Ott, Ocskay, Sport et prince de Reuss, elle avait deux avant-gardes sous les ordres des colonels Klenau et Lusignan, et se composait de seize bataillons, neuf compagnies, treize escadrons, et cinquante-six bouches
Le 10 mai, le lieutenant-général Soult avec 6,000 hommes, se porta dans la rivière du Levant sur les derrières de la gauche de Ott, et rentra dans Gênes avec des vivres et des prisonniers par Monte-Faccio; les attaques furent renouvelées le 13 mai.
Op., ep. S. Theod. Disput. adv. Ab., c. II et III. Biblioth. cist., t. IV. Ott. Frising. De Gest. Frid., l. I, c. XLVII. Mabillon, S. Bernard. Op., vol. I, t. II, p. 640. Bayle, Dict. crit., art. Abélard. Hist. litt., t.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche