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Wurmser, dans le désordre d'une action si précipitée, se trouve séparé des restes de la division Quasdanovich. Cette division se retire vers le Frioul, et lui, se voyant pressé par les divisions Masséna et Augereau, qui lui ferment la route du Frioul et le replient vers l'Adige, forme la résolution de passer l'Adige de vive force, et d'aller se jeter dans Mantoue. Il avait rallié

La seconde, forte de quatre mille six cent soixante-seize hommes, par le général Liptay; La troisième, forte de quatre mille cinq cent trente-trois hommes, par le général Köblös; La quatrième, forte de trois mille quatre cent six hommes, par le général Oczkay. La cinquième, forte de huit mille sept cent un hommes, par le général Quasdanovich.

Bonaparte, sans perdre un seul instant, voulut marcher d'abord sur le corps ennemi le plus engagé, et le plus dangereux par la position qu'il avait prise. C'étaient les vingt mille hommes de Quasdanovich, qui avaient débouché par Salo, Gavardo et Brescia, sur les derrières du lac de Garda, et qui menaçaient la communication avec Milan. Le jour même Serrurier abandonnait Mantoue, le 13 (31 juillet), Bonaparte rétrograda pour aller tomber sur Quasdanovich, et repassa le Mincio,

Ainsi, quoique Bonaparte eût perdu en partie le fruit de sa marche audacieuse sur la Brenta, et qu'il n'eût pas fait mettre bas les armes au maréchal, il avait entièrement ruiné et dispersé son armée. Quelques mille hommes étaient rejetés dans le Tyrol sous Davidovich; quelques mille fuyaient en Frioul sous Quasdanovich. Wurmser, avec douze ou quatorze mille, s'était enfermé dans Mantoue.

Du côté de Salo et de la Chiesa, Quasdanovich faisait une retraite pénible par derrière le lac de Garda. Il voulut s'arrêter et défendre le défilé dit la Rocca-d'Anfo; mais il fut battu, et perdit douze cents hommes. Bientôt les Français eurent repris toutes leurs anciennes positions.

Dans le Tyrol, sous les ordres de Davidovich, et dans la vallée de l'Adige, en présence de Vaubois, treize mille hommes; sous le commandement de Graffen, en Vorarlberg, trois mille cinq cents hommes; sous celui de Quasdanovich, en Frioul, quatre mille hommes; sous Wurmser, dans Mantoue, trente bataillons, vingt-huit compagnies et trente escadrons formant vingt-neuf mille six cent soixante-seize hommes, dont dix-huit mille en état de porter les armes. Le 24, Alvinzi prit le commandement de l'armée; Davidovich fut renforcé de six mille huit cents hommes de la landsturm du Tyrol; Quasdanovich reçut un renfort de quinze bataillons de nouvelles levées. Le plan d'opération était celui-ci: Davidovich devait s'emparer de Trente; Quasdanovich marcher sur Vérone, et Wurmser, agissant avec tout son monde contre les troupes formant le blocus, devait contribuer au gain de la bataille qui aurait lieu sous Vérone. Le général Alvinzi ouvrit la campagne, et son avant-garde passa la Piave le 1er novembre. La force de son armée, ce jour-l

Wurmser divisa son armée en quatre colonnes principales, de la manière suivante: la première, sous les ordres du lieutenant général Quasdanovich, formait l'aile droite; se divisant elle-même en quatre brigades commandées par les généraux Ott, Ocskay, Sport et prince de Reuss, elle avait deux avant-gardes sous les ordres des colonels Klenau et Lusignan, et se composait de seize bataillons, neuf compagnies, treize escadrons, et cinquante-six bouches