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Mis à jour: 8 mai 2025


Bonaparte sentit dès lors le danger de s'engager davantage contre Alvinzy, lorsque Vaubois, qui était avec sa gauche dans le Tyrol, pouvait perdre la Corona, Rivoli, et même Vérone, et être rejeté dans la plaine. Bonaparte eût alors été coupé de son aile principale, et placé avec quinze ou seize mille hommes entre Davidovich et Alvinzy. En conséquence il résolut de se replier sur-le-champ. Il ordonna

Le général Davidovich avait pris position la veille au soir

Dans le Tyrol, sous les ordres de Davidovich, et dans la vallée de l'Adige, en présence de Vaubois, treize mille hommes; sous le commandement de Graffen, en Vorarlberg, trois mille cinq cents hommes; sous celui de Quasdanovich, en Frioul, quatre mille hommes; sous Wurmser, dans Mantoue, trente bataillons, vingt-huit compagnies et trente escadrons formant vingt-neuf mille six cent soixante-seize hommes, dont dix-huit mille en état de porter les armes. Le 24, Alvinzi prit le commandement de l'armée; Davidovich fut renforcé de six mille huit cents hommes de la landsturm du Tyrol; Quasdanovich reçut un renfort de quinze bataillons de nouvelles levées. Le plan d'opération était celui-ci: Davidovich devait s'emparer de Trente; Quasdanovich marcher sur Vérone, et Wurmser, agissant avec tout son monde contre les troupes formant le blocus, devait contribuer au gain de la bataille qui aurait lieu sous Vérone. Le général Alvinzi ouvrit la campagne, et son avant-garde passa la Piave le 1er novembre. La force de son armée, ce jour-l

La troisième colonne, sous les ordres du lieutenant général Davidovich, formant la gauche du centre, se composait de trois brigades, commandées par les généraux Mittrowsky, Liptay et le plus ancien colonel de la brigade; sa force était de dix bataillons, huit compagnies, dix escadrons, soixante bouches

Ainsi, quoique Bonaparte eût perdu en partie le fruit de sa marche audacieuse sur la Brenta, et qu'il n'eût pas fait mettre bas les armes au maréchal, il avait entièrement ruiné et dispersé son armée. Quelques mille hommes étaient rejetés dans le Tyrol sous Davidovich; quelques mille fuyaient en Frioul sous Quasdanovich. Wurmser, avec douze ou quatorze mille, s'était enfermé dans Mantoue.

Davidovich avait rallié ses deux divisions sur sa réserve, dans le défilé de Calliano, défilé redoutable et bien autrement dangereux que celui de Marco. Sur ce point, l'Adige, serrant les montagnes, ne laissait, entre son lit et leur pied, que la largeur de la chaussée.

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