United States or Saint Vincent and the Grenadines ? Vote for the TOP Country of the Week !


Ainsi, la page Bacon, en 1605, présente au public, pour la première fois, les idées qui, dans le premier livre du Novum organum, constitueront sa critique de la science telle qu'on l'a comprise avant lui, semble bien porter la marque de l'influence de Montaigne.

Je pourrais encore examiner quelques aphorismes du premier livre du Novum organum et en rapprocher des passages semblables de Montaigne; mais cela nous ferait revenir sur des idées déj

Dans chacune de ces trois parties, apologie de la science, détermination de son objet et exposition de sa méthode, il nous faut rechercher si l'influence de Montaigne est sensible. Les deux premières constituent le De Dignitate et Augmentis scientiarum . La dernière porte le titre de Novum organum. I. L'APOLOGIE DE LA SCIENCE ET LE De dignitate scientiarum

Voir en particulier, dans I, V, de longs développements sur ce sujet. Voir surtout l'essai Du pédantisme. I, XXXIX, p. 182: «Cettuy-cy, tout pituiteux, chassieux et crasseux... » III, XIII au début. Début de I, 25 et III, 1. I, XXIV, t. II, p. 12. I; éd. Cf. Novum organum, livre II, aphorisme 5.

Outre cette psychologie des fantômes de l'esprit humain, la première partie du Novum organum contient une série de critiques sur la méthode employée jusqu'alors dans l'enquête scientifique. Ici encore, la forme très sèche des aphorismes, qui ne comporte ni exemples, ni commentaires, ne nous laisse rien deviner touchant la provenance de ces idées.

L'Instauratio magna comprend deux parties: le Novum organum, en deux livres, presque entièrement nouveaux qui parurent en 1620; le De augmentis qui reproduit en latin l'Advancement of learning en y insérant quelques additions importantes et en divisant la matière en neuf livres au lieu de deux; il est de 1623.