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Les Variétés ont repris avec le plus grand succès la célèbre opérette de MM. Boucheron et Audran, Miss Helyet; livret et musique n'ont rien perdu des qualités aimables qui valurent autrefois

L'ancien vaudeville était préférable. Il gardait au moins une platitude bonne enfant. D'autre part, si l'on entre dans le relatif du métier, il est certain qu'il était moins rare de rencontrer un vaudeville bien fait qu'il ne l'est aujourd'hui de tomber sur une opérette supportable. La cause en est simple. Les auteurs, quand ils avaient une idée drôle, se contentaient de la traiter en un acte, et le plus souvent l'acte était bon, l'intérêt se soutenait jusqu'au bout. Maintenant, il faut que la même idée fournisse trois actes, quelquefois cinq. Alors, fatalement, les auteurs allongent les scènes, délayent le sujet, introduisent des épisodes étrangers; et l'action se trouve ralentie. C'est ce qui explique pourquoi, généralement, le premier acte des opérettes est amusant, le second plus pâle, le dernier tout

Nous jouerons la comédie chère mignonne, et je compte sur vous, comme sur monsieur Julien, pour jouer avec moi une opérette. Ah! quelle joie! NO

» Une pièce de théâtre, au contraire, est presque toujours, par les frais considérables qu'elle entraîne, une grosse affaire; une affaire de laquelle peut dépendre, en de certains cas, le salut ou l'effondrement du directeur qui la produit. » Mais ce n'est pas tout. Faites le compte, madame, de tous ceux dont l'intérêt personnel est attaché au succès d'une pièce qu'on inaugure: cela est prodigieux! Un drame, une opérette, un vaudeville qui réussit, c'est du bonheur pour tout le monde: pour le directeur et pour l'auteur; pour tel interprète, dont ce succès va mettre le nom en lumière; pour les fournisseurs couturiers, décorateurs, ébénistes, marchands d'accessoires désormais rassurés sur le sort de leurs factures; pour les restaurants et les cafés du quartier qui ne désempliront plus pendant trois mois; pour le bureau de tabac du coin; pour la station d'omnibus l'on s'écrasera tous les soirs, tant que durera la pièce en vogue... Et vous vous étonnez qu'il y ait un peu de fièvre dans nos maisons chaque fois qu'une de ces parties-l

Cocorico: ce titre sonore et bien français est celui d'une divertissante opérette qu'affiche en ce moment le théâtre Apollo. Sur un livret de MM. Georges Duval, Maurice Soulié et de Jailly, construit suivant les meilleures traditions du genre, M. Louis Ganne, l'auteur de tant d'oeuvres qui connurent le grand succès, a écrit une musique claire et nerveuse, expressive, bien chantante.

Elle était folle des japonaiseries. Elle prenait son opérette au sérieux. Elle voulait qu'autour d'elle, bibelots et soieries, tout fût du temps, du temps de Bouddha Ier. Je dévalisais les boutiques de vendeurs de netzskés pour peupler de drôleries ses étagères, et je me rappelle sa joie, sa joie d'enfant lorsque j'arrivai, un soir, précédant un commissionnaire qui portait sur ses bras, comme une nourrice son nourrisson, un gros Bouddha doré que j'avais découvert au fond d'un magasin de bric-

Au théâtre Apollo, nous avons revu avec plaisir Monsieur de La Palisse et nous nous sommes divertis aux cocasses aventures qui lui adviennent du fait de MM. de Fiers et de Caillavet, ses parrains. La musique de M. Claude Terrasse est pleine d'allégresse et d'esprit; cette opérette a retrouvé le franc succès qui l'accueillit en 1904, lors de sa création.

Et ça finit en opérette, de façon qu'il y en ait pour tous les goûts. Des paysans de théâtre, qui sont des conjurés, font la fenaison au bord de la Seine. Le petit roi, qu'on s'est bien gardé de remettre

J'aurais beaucoup aimé, si vous en possédiez, avoir une photographie du petit portrait de Miss Sacripant! Mais qu'est-ce que c'est que ce nom? C'est celui d'un personnage que tint le modèle dans une stupide petite opérette. Mais vous savez que je ne la connais nullement, monsieur, vous avez l'air de croire le contraire.

Il prenait du thé, en écoutant avec un peu d'ennui Surbiton qui lui rendait compte de la dernière opérette de la Gaîté, quand le valet de pied apporta les journaux du soir. Il prit la Gazette de Saint-James et il en feuilletait les pages d'un air distrait quand ce titre singulier frappa ses yeux. Il devint pâle d'émotion et se mit