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Mis à jour: 4 juillet 2025
L'air retentissait de leurs acclamations, ils suspendaient des guirlandes sur les autels et aux portiques de tous les temples de la ville, et terminèrent leur journée dans les festins, les excès et l'ivresse, sans égard pour les angoisses qui oppressaient le coeur des malheureux étrangers, dont la présence avait formé une partie si attrayante des pompes du triomphe.
Mais apparaissait-il dans cette enceinte solennelle comme un ange sauveur ou comme un fatal génie? Devait-elle espérer en lui ou trembler pour lui? Mille conjectures oppressaient
La Providence, depuis votre absence, s'est jouée bien cruellement de mes destinées, elle m'a rendue bien vite la plus fortunée des femmes pour me laisser la plus malheureuse des épouses.... Et la douce et plaintive voix de Joséphine se perdit dans les sanglots qui oppressaient son coeur.
Le second père avait un fils plus faible, aux joues décolorées, au maintien délicat. Ce jeune homme résista long-tems, et se roidit contre sa destinée, avec une patiente tranquillité d'esprit. Il parlait peu, et de tems en tems il souriait, pour alléger le poids des mortelles pensées, qui oppressaient d'autant plus le cœur de son père, qu'il voyait son fils les supporter comme lui.
Le second père avait un fils plus faible, aux joues décolorées, au maintien délicat. Ce jeune homme résista long-tems, et se roidit contre sa destinée avec une patiente tranquillité d'esprit. Il parlait peu, et de tems en tems il souriait pour alléger le poids des mortelles pensées qui oppressaient d'autant plus le cœur de son père, qu'il voyait son fils les supporter comme lui.
La cessation du feu, la retraite précipitée des débris de l'armée ne nous confirmèrent que trop l'issue funeste de la bataille; nous demandions de tous côtés des nouvelles de l'Empereur, et personne ne pouvait appaiser notre douloureuse anxiété: les uns nous assuraient qu'il avait été fait prisonnier, les autres qu'il avait été tué. Pour mettre fin aux inquiétudes qui nous oppressaient, je pris le cheval du chef de nos équipages; et, suivi d'un premier piqueur (nommé Chauvin), revenu avec Napoléon de l'île d'Elbe, je rebroussai vers Mont-St.-Jean. Après avoir vainement importuné de questions une multitude d'officiers, je rencontrai un page (le jeune Gudin) qui m'assura, que l'Empereur devait avoir quitté le champ de bataille. Je poussai plus loin. Deux cuirassiers, le sabre levé, m'arrêtèrent: Où vas-tu? Je vais
Elle avait tout avoué, l'histoire de la robe de gaze verte, l'histoire du pareo rouge.-Elle pleurait, la pauvre petite, de tout son coeur; les sanglots oppressaient sa poitrine, et Tiahoui pleurait aussi, de voir pleurer son amie...
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