Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 4 juin 2025
Oui, et maintenant plus privilégié que jamais, dit Odoardo: un ange le garde. Cette soirée se passa comme l'autre, sans que le comte conçût aucun soupçon, tant Lia sut dissimuler sa douleur. Le lendemain,
Odoardo l'embrassa avec cette effusion de l'homme heureux qui a besoin de répandre son bonheur sur tout ce qui l'entoure. Lia crut que son mari s'abaissait
Et Lia entendit Odoardo qui rentrait dans sa chambre et qui s'asseyait devant une table. Les deux chambres étaient contiguës; Lia se leva doucement, tira la clé de la porte et regarda par la serrure. Odoardo écrivait effectivement; et sans doute la lettre qu'il écrivait répondait
La première parole du comte Odoardo
Oh! quelle bonne surprise! lui dit-elle. Tu es rentré plus tôt que je n'espérais. Oui, dit Odoardo en jetant les yeux du côté du Vésuve; oui, j'étais inquiet. Ne sens-tu pas qu'il fait étouffant? ne vois-tu pas que la fumée du Vésuve est plus épaisse que d'habitude? La montagne nous promet quelque chose! Je ne sens rien, je ne vois rien, dit Lia. D'ailleurs, ne sommes-nous pas du côté privilégié?
Le comte traversa sa chambre sans s'arrêter, et entra dans celle de sa femme; on lui avait dit que la comtesse était chez elle, il croyait l'y trouver. Il l'appela. Répondre, c'était se trahir. Lia se tut. Odoardo rentra alors dans sa chambre, déposa son fusil dans un coin, jeta sa carnassière sur un sofa; puis, s'avançant nonchalamment vers la table où étaient les lettres, il jeta sur elles un coup d'oeil indifférent; mais
Lia ne répondit rien. Elle retourna seulement la tête et regarda du côté par où venait cette voix avec des yeux ardens de fièvre. Réponds-moi, continua Odoardo. Lia se tut.
Odoardo sourit. Il y avait quelque chose de vrai dans ce qu'avait raconté
Mot du Jour
D'autres à la Recherche