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Mis à jour: 23 juillet 2025
Il ne se rencontre que deux documents qui fassent connaître, l'un, l'époque d'un rapprochement affectueux entre le père et la fille, l'autre, l'impression qu'en reçut le coeur de celle-ci. Le premier de ces documents est du 25 juin 1581, le second, du 29 juillet suivant. Avant d'en produire la teneur, occupons-nous de quelques faits antérieurs
Occupons-nous seulement de ce que dit M. Stübben relativement aux destructions des villes en Belgique.
Jardin de curé, avec son quinconce de tilleuls, sa collection de dahlias et de rosiers, ses berceaux de vignes et ses espaliers de pêchers et d'abricotiers: vous verrez tout cela; mais, pour le moment, occupons-nous, non pas du jardin, mais de ceux qui s'y promènent.
Cela est Français dans tout le beau de l'expression. C'est, ce me semble, dans ce sens qu'il faut marcher pour bien se pénétrer du style de ces trois grands maîtres, qui, suivis chacun de la tourbe de ses imitateurs, se partagent maintenant en Europe la scène musicale. Pour qui sait entendre, on les imite même dans les petites musiques de Feydeau. Mais occupons-nous enfin de Rossini.
«Maintenant, dit mon oncle après avoir achevé ces préparatifs, occupons-nous des bagages; ils vont être divisés en trois paquets, et chacun de nous en attachera un sur son dos; j'entends parler seulement des objets fragiles.» L'audacieux professeur ne nous comprenait évidemment pas dans cette dernière catégorie.
»Or maintenant occupons-nous de littérature, triste chute
Laissons le passé, et occupons-nous du présent. Nous vivons maintenant dans l' abondance des beaux concerts, et l' on est fort souvent embarrassé le dimanche pour savoir où aller, parce qu'on voudrait être partout
Et combien reste-t-il encore d'aéroplanes intacts?... Mais, je crois la caravane encore au complet, comme au départ... Enfin, laissons cela, coupa l'aéro-yachtman en faisant un geste comme pour écarter de son esprit des pensées désagréables, et occupons-nous de notre prochain départ pour Belfort. Vous avez raison. Je cours chez le général de brigade solliciter l'autorisation en question.
Occupons-nous, maintenant, des travaux de la commission de Versailles, qui réclament une place ici
Laissons ces naïfs, et occupons-nous des adeptes, des purs. Ceux-ci sont de vrais fanatiques. L'œuvre du maître ne saurait être discutée; on l'écoute en silence, comme la parole de Dieu tombant du haut de la chaire. Si d'interminables longueurs engendrent un terrible ennui, on ne s'en préoccupe pas plus que de celui qu'exhale le chant monotone des Psaumes,
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