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L'oiseau dans son tendre ramage Chantant un hymne au Créateur, La brise ondulant le feuillage. Cueillant les parfums de la fleur; La fraîche oasis qui se cache Dans les déserts mystérieux; L'éclair perçant qui se détache Lançant ses traits capricieux, Le Ciel, dans ses nuits les plus belles, Roulant des milliers d'univers Qui reflètent leurs étincelles Aux centuples miroirs des mers;

Sa première idée, en mettant le pied dans cette oasis poétique, avait été d'envoyer chercher ses collaborateurs ordinaires

Ces Ouled-Naïl! Je m'étais représenté des filles de joie, bruyantes, aux lignes serpentines, agitant des colliers de sequins. Et, quand on me dit: «les voici», je frissonnai d'une sorte de crainte. Elles étaient huit ou dix, presque en rang, parées comme des idoles de temple, et chacune se tenait immobile, aux aguets, sur le pas de sa porte. A l'écart, dans cette oasis déj

NORMANDS: Croire qu'ils prononcent des hâvresâcs, et les blaguer sur le bonnet de coton. NOTAIRES: Maintenant, ne pas s'y fier. NOURRITURES: Toujours saine et abondante dans les collèges. NUMISMATIQUE: A rapport aux hautes sciences, inspire un immense respect. OASIS: Auberge dans le désert. OBSC

Ainsi, dans un passage de la première improvisation, le poète, plein d'espoir dans son idéal, s'exprime comme suit: Car l'amour, l'amour seul d'une vierge adorée, Peut consoler le coeur des maux qu'il a soufferts; C'est la fraîche Oasis, c'est la manne sacrée, C'est la source d'eau pure au milieu des déserts.

Elle avait cru rencontrer sur sa route aride une fraîche oasis elle aurait trouvé quelques instants de repos, un peu de lumière pour son esprit obscurci et de chaleur pour son coeur glacé. Mais, évidemment, elle s'était bercée d'un rêve... elle venait de comprendre que tout était fini... ou

«J'ai eu l'avantage de rencontrer quelquefois dans le panorama si varié de l'existence humaine une oasis sur mon chemin, mais jamais je n'en ai vu de si verdoyante ni de si rafraîchissante que celle qui s'offre

Ispahan!... Mais quel silence aux abords!... Chez nous, autour d'une grande ville, il y a toujours des kilomètres de gâchis enfumé, des charbons, de tapageuses machines en fonte, et surtout des réseaux de ces lignes de fer qui établissent la communication affolée avec le reste du monde. Ispahan, seule et lointaine dans son oasis, semble n'avoir même pas de routes. De grands cimetières abandonnés paissent des chèvres, de limpides ruisseaux qui courent librement partout et sur lesquels on n'a même pas fait de pont, des ruines d'anciennes enceintes crénelées, et rien de plus. Longtemps nous cherchons un passage, parmi les débris de remparts et les eaux vives, pour ensuite nous engager entre des murs de vingt pieds de haut, dans un chemin droit et sans vue, creusé en son milieu par un petit torrent. C'est comme une longue souricière, et cela débouche enfin sur une place bourdonne la foule. Des marchands, des acheteurs, des dames-fantômes, des Circassiens en tunique serrée, des Bédouins de Syrie venus avec les caravanes de l'Ouest (têtes énormes, enroulées de foulards), des Arméniens, des Juifs... Par terre,

Et c'était bon!... Malheureusement cela ne dura pas. Le mari les laissa trop tranquilles. Que voulez-vous? Il était philosophe, cet homme. Sa femme une fois partie, il avait refermé la porte verte de son oasis et s'était paisiblement remis

J'ai fréter un voiturin dans la petite ville de * pour faire les deux lieues qui me séparaient encore du terme de mon voyage. Pendant le trajet, qui n'a pas été des plus rapides, je me souviens confusément d'avoir vu passer sous mes yeux des bois, des clairières, des lacs, des oasis de fraîche verdure cachées dans les vallons; mais, en approchant du château de Laroque, je me sentais assailli par mille pensées pénibles qui laissaient peu de place aux préoccupations du touriste. Encore quelques instants, et j'allais entrer dans une famille inconnue, sur le pied d'une sorte de domesticité déguisée, avec un titre qui m'assurait