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Mis à jour: 4 juin 2025


En Allemagne les dominations sont divisées, nombreuses, variées, l'esprit de réformation s'est perpétué depuis Luther et Calvin, et aurait pu faire de grands ravages si la Révolution française n'eût effrayé tous les gouvernements et dispersé les novateurs; ceux qui restent, y compris madame de Krüdener , ne sont que ridicules.

Il s'insinue ainsi; sous ce modeste titre. Des plaisirs de Versailles il est bientôt l'arbitre Contre le genre faux qui domine partout Du monarque d'abord il excite le goût. Puis, lorsque, secondé par une troupe habile Il a fait applaudir et sa verve et son style, Audacieux et franc, comme les novateurs, Il ose de son art aborder les hauteurs. Sûr du concours du roi que son génie amuse, Il choisit hardiment la Vérité pour muse. On le voit, affrontant leurs dédains méprisants, Devant toute la cour jouer les courtisans. Frappé de ce tableau pour lui si véridique, Louis Quatorze absout le profond satirique; Bientôt même

À la vérité, ces novateurs ont découvert que l'âme avait son prix et qu'il faut avoir pitié des humbles et des souffrants. Or, je puis leur affirmer que cela même, avec quelques autres choses, est dans les ouvrages de M. Renan, et notamment dans l'Avenir de la Science.

L'alliance des mécontents politiques et des novateurs religieux se fit sur la question des droits des princes du sang. Les ennemis des Guise prétendaient qu'en raison de la mauvaise santé du Roi et de la faiblesse de son entendement, il y avait lieu, malgré sa majorité, de réunir les

L'Amiral, qui décidément se posait en porte-parole des réformés, attaqua vivement la politique religieuse et le gouvernement des Guise. Le Duc répliqua sur le même ton. Le Cardinal, calme et ironique, remarqua que si les novateurs se disaient «très obéissans, c'estoit toutesfois avec condition que le roy seroit de leur opinion et de leur secte ou pour le moins qu'il l'approuveroit» .

Mais c'est un des malheurs de ce pays d'être en ce moment divisé, non plus seulement comme tous les pays du monde, en esprits jeunes, ardents, aventureux et plus ou moins témérairement novateurs, et en esprits plus mûrs, et, si l'on veut, plus désabusés et plus ou moins sagement conservateurs, mais bien en trois partis exclusifs, intraitables, aveugles, qui s'anathématisent sans relâche et se damnent l'un l'autre sans miséricorde, savoir: un parti qui ne voit, ne comprend, ne veut, et, chose étrange! n'espère que le passé! un parti qui, par compensation, ne cherche, ne voit, ne sait, ne pleure que l'avenir, toujours en retard d'un millier d'années au gré de son impatience; enfin, un parti qui, naturellement effrayé de cette soif monstrueuse, également déraisonnable des deux parts, et de ce qui n'est plus et de ce qui ne saurait être encore, se condamnerait volontiers, lui, de peur de donner gain de cause

Comme les philosophes entrevoyaient un Dieu véritable planant au-dessus des fantômes de dieux, on les accusait d'athéisme. D'après le précepte de Zaleucos, «tous les citoyens devaient être persuadés de l'existence des dieuxCet axiome se trouvait explicitement ou implicitement contenu dans les diverses constitutions. Aussi la gent dévote et bien pensante s'indignait-elle de la sacrilège liberté des poëtes novateurs, des philosophes et des savants. Or, quand l'esprit de dévotion prévaut, en tout temps il est implacable . Une foule d'hommes distingués furent exilés ou mis

Qu'il demeurait trop loin de la maison; qu'on ne l'avait pas quand on voulait; qu'il était d'une morale trop austère; qu'on avait quelque raison de le soupçonner des sentiments des novateurs; qu'il semait la division dans la maison, et qu'il éloignait l'esprit des religieuses de leur supérieure. Et d'où savez-vous cela? De lui-même. Vous le voyez donc?

Mais au début, ceux qui l'avaient introduite dans le monde savant étaient, nous l'avons vu» des novateurs. Quelques auteurs veulent que le premier d'entre eux ait été Lanfrano de Pavie, archevêque de Canterbery, ou saint Anselme, son successeur; d'autres ne placent cette origine qu'au temps de Pierre Lombard, ou descendent jusqu'au temps d'Alexandre de Hales.

C'est pour fonder ou maintenir des croyances générales que le moyen âge a élevé tant de bûchers, que tant d'inventeurs et de novateurs sont morts dans le désespoir quand ils évitaient les supplices. C'est pour les défendre que le monde a été tant de fois bouleversé, que tant de millions d'hommes sont morts sur les champs de bataille, et y mourront encore.

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