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Mis à jour: 1 juillet 2025


Le gouvernement du Cap-Breton et de St.-Jean était entièrement modelé sur celui du Canada. Le commandant, comme celui de la Louisiane, était subordonné au gouverneur général de la Nouvelle-France résidant

Dieu a planté dans le coeur de tout Canadien français patriote "une fleur d'espérance." C'est l'aspiration vers l'établissement, sur les bords du Saint-Laurent, d'une Nouvelle-France dont la mission sera de continuer sur cette terre d'Amérique l'oeuvre de civilisation chrétienne que la vieille France a poursuivi avec tant de gloire pendant de si longs siècles. Cette aspiration nationale, cette fleur d'espérance de tout un peuple, il lui faut une atmosphère favorable pour se développer, pour prendre vigueur et produire un fruit. J'écris ce livre pour contribuer, selon mes faibles moyens,

Votre littérature nationale, mais elle n'existe pas, si je fais exception de quelques rares oeuvres d'écrivains et de poètes de votre pays qui ont célébré les héros de la Nouvelle-France et les patriotes de mil huit cent trente-sept. Tous les livres qu'on m'a signalés je ne parle, bien entendu, que des romans ne m'ont rien appris d'intéressant, d'inédit, sur le Canada et les canadiens. Vos romanciers n'ont fait qu'esquisser des idylles plus ou moins invraisemblables, n'ayant pas même le mérite de l'originalité. On a beaucoup imité le vieux roman français, quelquefois avec talent, ce qui démontre qu'on aurait pu faire mieux. Les personnages de ces romans n'ont rien de particulier qui les caractérisent et on ne découvre un peu de couleur locale que dans les descriptions de paysages et quelques épisodes de la vie canadienne. Il serait bien inutile de chercher des documents humains dans ces libres saturés de mysticisme et des plus propres

Lorsqu'en 1672 je fus nommé pour la première fois gouverneur du Canada, ma femme refusa de m'y accompagner. Même, dix ans après, le roi m'ayant rappelé en France, la comtesse me reçut aussi froidement que si je l'avais seulement quittée de la veille; et, durant les sept années qui suivirent, je lui fus pis qu'un étranger. L'an dernier enfin, préposé une seconde fois au gouvernement de la Nouvelle-France, je dus quitter de nouveau ma femme, sans qu'une larme vînt mouiller sa paupière. Maintenant je sens bien que je ne la reverrai plus. Tant que je me sentis jeune encore, je pus conserver quelque espoir de fléchir un esprit injustement dédaigneux. A présent que le chagrin, plus encore que la vieillesse, a sourdement miné ma vie, aujourd'hui que je suis vieux et souffreteux, je sens bien que la brillante comtesse ne voudra jamais quitter les délices dont elle a su s'entourer

La perfidie de ces paroles atterra Lamirande. Il comprit qu'il y avait conspiration contre lui entre le premier ministre et le domestique, et que ce serait inutile d'insister auprès de sir Henry pour obtenir justice. Il raconta dans la Nouvelle-France exactement ce qui s'était passé entre sir Henry et lui. Il appuya son dire d'une déclaration de Leverdier et de Vaughan qui affirmaient que c'était bien l

Aussi dans quel état d'inexpérience la conquête anglaise trouva les colons français! Ils étaient incapables de conduire eux-mêmes leurs propres affaires et les conquérants ne pouvaient revenir de leur étonnement! «L'erreur de ceux qui gouvernèrent la Nouvelle-France, dit l'historien américain Parkmann, ne fut pas d'exercer leur autorité, mais de l'exercer trop, et au lieu d'apprendre

Si la force du nombre assurait ainsi aux ennemis les avantages de la campagne dans la partie de la Nouvelle-France qui était la plus voisine de la mer, il en était de même dans la vallée de l'Ohio, les succès des Français furent insuffisans pour suppléer

«La Nouvelle-France comptait alors au nombre de ses habitans un Normand nommé La Salle (Robert Cavalier de), possédé de la double passion de foire une grande fortune et de parvenir

Dans leur trouble, les routiers n'avaient, point remarqué la présence du vicomte parmi eux. Lorsqu'elle fut connue, l'espérance renaquit dans ces coeurs susceptibles de se livrer instantanément aux sensations les plus divergentes. Jean de Ganay leur apparaissait comme un otage sacré, comme la preuve certaine que le gouverneur de la Nouvelle-France n'avait pas voulu les abandonner

Fin du premier Livre. HISTOIRE DU CANADA ET VOYAGES DES PERES RECOLLECTS EN LA nouvelle-France Commencement du voyage de l'Autheur pour les Hurons. Rencontre d'un Pirate Holandois, & du danger qu'ils coururent estant eschouez.

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