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Mis à jour: 31 mai 2025
Ma santé s'altérait sensiblement, et deux de mes bons amis, Brongniart, l'architecte, et sa femme, étant venus me voir, me trouvèrent si maigre et si changée, qu'ils me conjurèrent de venir passer quelques jours chez eux, ce que j'acceptai avec reconnaissance. Brongniart avait son logement aux Invalides; je fus conduite chez lui par un médecin attaché au Palais-Royal, et dont les gens portaient la livrée d'Orléans, la seule qui fût alors respectée. On me donna le meilleur lit. Comme je ne pouvais pas manger, on me nourrissait avec d'excellent vin de Bordeaux et du bouillon, et madame Brongniart ne me quittait pas. Tant de soins auraient dû me calmer, outre que mes amis voyaient beaucoup moins en noir que moi; mais il était impossible de me rassurer contre les maux que je prévoyais. À quoi bon vivre?
Quelques auteurs ont d'ailleurs nié que saint Jean mangeât des insectes, et les Abyssiniens prétendent qu'il se nourrissait de graines brunes du faux acacia, nommé par eux arbre aux sauterelles. Et quel est votre avis? demanda Hendrik, qui avait foi dans l'instruction de son frère.
La preuve, Poucette vécut toute seule tout l'été dans la grande forêt. Elle se tressa un lit de brins d'herbe et l'accrocha sous une grande feuille de patience, en sorte qu'il ne pouvait pleuvoir sur elle; elle récoltait le pollen des fleurs et s'en nourrissait, et elle buvait la rosée qui était tous les matins sur les feuilles; ainsi passèrent l'été et l'automne, mais vint alors l'hiver, le froid et long hiver. Tous les oiseaux qui lui avaient chanté de belles chansons s'en allèrent, les arbres et les fleurs se fanèrent, la grande feuille de patience sous laquelle elle avait habité se recroquevilla et devint un pédoncule jaune fané, et elle eut terriblement froid, car ses vêtements étaient déchirés, et elle-même était si petite et si frêle, la pauvre Poucette, qu'elle devait mourir de froid. Il se mit
Mais madame de la Croix était bien plus forte pour la pratique que pour la théorie. Son affaire principale était de combattre le diable et de guérir les maladies. Elle croyait comme le P. Gassner, dont elle faisait grand cas, que le diable était cause de presque toutes les maladies, lesquelles avaient toujours leur source dans quelque péché, qui avait soumis la partie malade aux influences du démon. Elle opérait par des prières et par l'imposition de ses mains arrosées d'eau bénite et de saint chrême; mais quand elle rencontrait un possédé, et elle en nourrissait toujours quelques uns
Elle s'étendit encore plus loin en 1794. Par la mort de M. Lyrot de la Pasouillère, M. Charette acquit le pays situé entre la grande route de Nantes et la Sèvre, et celui renfermé entre cette rivière et la Loire, depuis Nantes jusqu'aux confins de l'Anjou. Ce territoire nourrissait trois divisions ou bandes qui ne se réunirent, il est vrai,
Ah! tu le sais, je n'y étais pas seul: la solitude des mers, leur vaste silence ou leur orageuse activité, le vol incertain de l'alcyon, le cri mélancolique de l'oiseau qui aime nos régions glacées, la triste et douce clarté de nos aurores boréales, tout nourrissait les vagues et ravissantes inquiétudes de ma jeunesse.
Omer jugea bon de marquer du dépit, et ne parla plus. D'ailleurs, il nourrissait du ressentiment contre la générale et son amie, pour leurs vilaines médisances. Lors de son retour
Picounoc, marié et père de famille, nourrissait toujours dans son âme le feu de ses criminels désirs. S'il eut été un scélérat vulgaire, s'il n'eut pas été un homme maudit peut-être, il serait allé aveuglement où l'entraînaient ses désirs, et, comme la plupart des criminels, il aurait brisé violemment les obstacles. Il eut tué sa femme et son ami. En effet, consultez les annales judiciaires et voyez si, dans presque tous les cas analogues, l'homme ou la femme épris d'une passion coupable, ne font pas eux-mêmes, par le fer ou le poison, disparaître ceux qui les gênent. Mais Picounoc plus rusé, plus fort, plus attaché
Quand elle eut un enfant, il le fallut mettre en nourrice. Rentré chez eux, le marmot fut gâté comme un prince. Sa mère le nourrissait de confitures; son père le laissait courir sans souliers, et, pour faire le philosophe, disait même qu
Mais l'aiguille de Toinette la nourrissait
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