Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 16 juillet 2025


Les vainqueurs exigeaient de l'argent, beaucoup d'argent. Les habitants payaient toujours; ils étaient riches d'ailleurs. Mais plus un négociant normand devient opulent et plus il souffre de tout sacrifice, de toute parcelle de sa fortune qu'il voit passer aux mains d'un autre.

La dernière fois que je visitai dans sa retraite de Mesnil-Durand le savant Louis Du Bois (en octobre 1854), ce laborieux vieillard, plus qu'octogénaire, me montra un Glossaire du Patois Normand qu'il avait commencé vers la fin du dernier siècle, et me pria de lui chercher un éditeur. Je parcourus ces pages, je les emportai, et bientôt un homme d'intelligence et de goût prit

«Je vous jure, noble chevalier, par tout ce que je crois et par tout ce que nous croyons en commun...» «Ne te parjures point! dit le Normand en l'interrompant, et que ton obstination n'ajoute pas

Les forgerons, maréchaux et taillandiers tiennent une place considérable dans l'imagerie allégorique, surtout dans celle du XVIIe siècle; nous avons reproduit quelques planches qui sont intéressantes au double point de vue du métier et de l'histoire des moeurs; telle est celle l'on voit la servante «ferrer la mule» (p. 9), expression qui a été remplacée par la «danse de l'anse du panier». La belle estampe de Larmessin est suffisamment expliquée par la légende qu'on lit au-dessous (p. 5). Avant de voler le chat de la mère Michel, Lustucru avait été quelque peu réformateur et forgeron. Quelque folâtre, dit Tallemant des Réaux, s'avisa de faire une espèce de forgeron, grotesquement habillé, qui tenait une femme avec des tenailles et la redressait avec son marteau. Son nom étoit L'Eusses-tu-cru, et sa qualité médecin céphalique, voulant dire que «c'étoit une chose qu'on ne croyoit pas qui pût jamais arriver que de redresser la tête d'une femmeOn vit paraître un grand nombre d'images, quelques-unes d'un véritable mérite artistique, qui montrèrent Lustucru dans son rôle de réformateur de la tête et de la frivolité des femmes; d'autres sont très naïves, comme le bois normand reproduit dans l'Imagerie populaire de Champfleury: Lustucru, en compagnie d'un ouvrier, frappe

Cependant, par une très rare exception aux règles générales, dans le bourg de Rhuys, moitié breton, moitié normand, et composé de deux longues rangées de maisons curieuses, aux deux bords de la route, baptisée du nom de Grande rue, les trois personnages principaux de l'endroit avaient résolu ce difficile problème de vivre en assez bonne harmonie, comme des êtres intelligents et d'honnête compagnie: l'abbé Dufresne, curé de la paroisse, le médecin des âmes; le docteur Le Bihan, chargé des cures corporelles, et maître Gerbier, déj

«Pauvre Pauldit Sophie en s'essuyant les yeux. MM. de Rugès et de Traypi avaient écouté avec un grand intérêt le court récit du Normand. Pendant que ces messieurs l'interrogeaient sur ses aventures, les enfants entourèrent Sophie. MARGUERITE. Tu as donc fait naufrage? MADELEINE. Ta maman et ton papa se sont noyés? Comment, toi, as-tu été recueillie? JACQUES. Qui est ce Paul dont tu parles?

Un grand, roux, avec un signe sur la joue, qui a de si longues jambes, et qui tutoie tout le monde, c'est Nadar. Et celui-ci, encore un roux, mais rond, boulot, le teint d'un Normand, favoris de sable et d'anjou joints en pelure d'oignon, A. Guéroult, et d'autres! Je ne fais pas l'affaire décidément.

LAERTES. C'était un Normand? LE ROI. Un Normand. LAERTES Sur ma vie, c'est Lamord! LE ROI. Lui-même. LAERTES. Je le connais bien; il est, en vérité, l'ornement et la perle de toute sa nation.

Amour passionné de tout ce qui est saxon et haine aveugle pour tout ce qui est normand; mépris intraitable de l'étranger usurpateur et fidélité intransigeante aux derniers rejetons de ses rois légitimes; instinct de révolte sans cesse frémissant et toujours prêt

Madame d'Arcambal était fille de M. Le Normand d'

Mot du Jour

féistes

D'autres à la Recherche