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Mis à jour: 27 juin 2025
Et elle rentra dans sa fleur, qui redevint bouton en repliant ses feuilles. Tu le sais bien, toi, Ninon, que la fée Amoureuse existe. Vois-la danser dans notre foyer, et plains les pauvres gens qui ne croiront pas
Demain, j'aurai rajeuni de dix ans. Il me semblera que j'arrive de la veille, du fond de notre jeunesse, avec le miel de ton baiser aux lèvres. Ce sera le recommencement de ma tâche. Ah! Ninon, je n'ai rien fait encore. Je pleure sur cette montagne de papier noirci; je me désole
[Note 151: Tout encore a été dit sur cette femme. Amie de Molière, elle devina Voltaire; elle eut de l'esprit autant que Madame Cornuel; elle étoit réellement l'institutrice de tous les jeunes seigneurs de la cour. La Fare, juge d'un goût délicat, a dit: «Je n'ai point vu cette Ninon dans sa beauté; mais
Madame de l'Enclos vouloit faire de Ninon une dévote; mais M. de l'Enclos, homme d'esprit et de plaisir, se chargea lui-même de l'éducation de sa fille, et donna une direction toute différente
La courtisane! Son règne commence alors et ne cesse de s'étendre. La plus célèbre fait revivre pendant les deux derniers tiers du XVIIe siècle le type de l'hétaïre grecque, aussi séduisante par l'esprit que par la beauté. Ninon de Lenclos, celle dangereuse créature qui fait perdre
Voltaire impatienté de voir paroître tant de mémoires sur elle, disoit: Si cette mode continue, il y aura bientôt autant d'histoires de Ninon que de Louis XIV. M. DE SAINT-EVREMONT
Tu sauras, Ninon, qu'il y avait autrefois, sur le haut d'une montagne, un vieux château sombre et lugubre. Ce n'étaient que tourelles, que remparts, que ponts-levis chargés de chaînes; des hommes couverts de fer veillaient nuit et jour sur les créneaux, et seuls les soldats trouvaient bon accueil auprès du comte Enguerrand, le seigneur du manoir.
Mon Dieu! mon Dieu! les belles ailes que c'était! Les jeunes filles, m'a-t-on dit, les retrouvent parfois: plus d'une sait ainsi se cacher aux yeux des grands-parents. Est-ce vrai, Ninon?
Sans doute, Ninon, le moyen était simple. Tu dois t'étonner de mes exclamations
Mais quel courroux! Vous aurais-je blessée? Quels yeux moins doux! Quelle moue offensée! Vous vous fâchez? Vous êtes en colère? Boudez, ma chère, Mais vous me le paierez. Adieu, Ninon. Eh bien! quel est ce geste? Qu'avez-vous donc? Voulez-vous que je reste? Ciel! vous pleurez Votre main me rappelle.... Pleurez, ma belle, Mes maux sont trop payés. Passy, Août 1860.
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