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Mis à jour: 12 juin 2025


Les guerres de la liberté religieuse et celles de la liberté politique n'ont pas de gloires plus innocentes et plus pures que Lanoue et Latour d'Auvergne, le premier grenadier de la République. C'est un Nantais, si l'on en croit la tradition, qui aurait poussé le dernier cri de Waterloo: La garde meurt et ne se rend pas.

Comme on le voit, le clergé nantais était riche. Nantes reprenait toute sa prospérité première, et un miracle accompli

Le petit Jeannin, les pieds nus dans les cendres, laissait passer l'écuelle sans y mouiller ses lèvres et regardait Simonnette tant qu'il pouvait. Dans sa blonde tête, il brodait de mille manières diverses ce thème invariable: Si j'avais cinquante écus nantais! Maître Vincent Gueffès se taisait, comme devraient faire tous les bas-normands d'esprit.

Une autre bonne aubaine se présenta: deux frères Nantais, MM. Dep..., qui y tenaient une taverne et auxquels j'avais vendu un des gigots de mon cerf, m'invitèrent

Alors aussi florissait le poète nantais Meschinot, dont Marot prisait fort les vers, et Michel Colomb, l'habile sculpteur, qui devait élever le tombeau du dernier duc. Nantes était si riche, qu'elle avait pu envoyer

Il possédait cette fortune qu'il avait souhaitée avec tant de passion, les cinquante écus nantais qui devaient le rendre si heureux; et pourtant sa tête pendait sur sa poitrine. Ce n'était pas la mer que le petit Jeannin avait vu sous les pieds de la fée, c'était le mirage de la nuit.

Il n'en fallait pas tant pour déconcerter le petit Jeannin. Toute sa vaillance tomba, et les larmes lui vinrent aux yeux. Dam! fit-il, puisqu'il ne faut que cinquante écus nantais. Et les pêcheras-tu, garçonnet, les cinquante écus nantais? Jean tira de dessous sa peau de mouton l'escarcelle de fines mailles, qui scintilla aux lueurs du foyer. Simon et sa ménagère ouvrirent de grands yeux.

Dans les divisions du Bas-Poitou et du Comté Nantais, les choses ne se passaient pas toujours ainsi; la guerre s'y est faite quelquefois, mais bien rarement, d'une manière cruelle; l'ordre n'y régnait pas toujours.

est Pinard? demanda-t-il brusquement. Il cherche des aristocrates, répondit le patriote nantais qui, en voyant le costume déchiré et ensanglanté du marin, n'eut pas le moindre soupçon et le prit pour un des siens. Est-il en haut, en bas, dans la cour? Est-ce que je le sais? Tonnerre! sais-tu que j'ai un ordre de Carrier

Au XVIIIe siècle la traite des noirs fut pour les armateurs nantais une source peu honorable de richesses.

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bornait

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