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Mis à jour: 14 mai 2025


Il parla ainsi, et il excita la douleur de tous les Myrmidones; et

Et je nommerai aussi ceux qui habitaient Argos Pélasgique, et Alos et Alopè, et ceux qui habitaient Trakinè et la Phthiè, et la Hellas aux belles femmes. Et ils se nommaient Myrmidones, ou Hellènes, ou Akhaiens, et Akhilleus commandait leurs cinquante nefs. Mais ils ne se souvenaient plus des clameurs de la guerre, n'ayant plus de chef qui les menât. Car le divin Akhilleus aux pieds rapides était couché dans ses nefs, irrité au souvenir de la vierge Breisèis aux beaux cheveux qu'il avait emmenée de Lyrnèssos, après avoir pris cette ville et renversé les murailles de Thèbè avec de grandes fatigues. L

Immobiles, nous l'admirions; car Akhilleus, irrité contre l'Atréide, ne nous permettait point de combattre. Je suis son serviteur, et la même nef bien construite nous a portés. Je suis un des Myrmidones et mon père est Polyktôr. Il est riche et vieux comme toi. Il a sept fils et je suis le septième. Ayant tiré au sort avec eux, je fus désigné pour suivre Akhilleus.

Et les Myrmidones, rangés sous le magnanime Patroklos, se ruèrent, pleins d'ardeur, contre les Troiens. Et ils se répandaient semblables

Mais le Pèléide était couché, gémissant, sur le rivage de la mer aux bruits sans nombre, au milieu des Myrmidones, en un lieu les flots blanchissaient le bord. Et le doux sommeil, lui versant l'oubli de ses peines, l'enveloppa, car il avait fatigué ses beaux membres en poursuivant Hektôr autour de la haute Ilios. Et l'âme du malheureux Patroklos lui apparut, avec la grande taille, les beaux yeux, la voix et jusqu'aux vêtements du héros. Elle s'arrêta sur la tête d'Akhilleus et lui dit: Tu dors, et tu m'oublies, Akhilleus. Vivant, tu ne me négligeais point, et, mort, tu m'oublies. Ensevelis-moi, afin que je passe promptement les portes d'Aidès. Les âmes, ombres des morts, me chassent et ne me laissent point me mêler

Les Myrmidones saisirent les chevaux haletants et qui voulaient fuir depuis que le char de leurs maîtres était vide. Mais, en entendant la voix de Sarpèdôn, Glaukos ressentit une amère douleur, et son coeur fut déchiré de ne pouvoir le secourir. Pressant de sa main son bras cruellement blessé par la flèche que lui avait lancée Teukros, du haut de la muraille, en défendant ses compagnons, il supplia ainsi l'archer Apollôn: Entends-moi, ô roi! soit de la riche Lykiè, soit de Troiè, car tu peux entendre de tout lieu les plaintes de l'homme qui gémit, et voici que la douleur me ronge. Je subis une blessure cruelle, et ma main est en proie

Il parla ainsi, et il outragea indignement le divin Hektôr en le couchant dans la poussière devant le lit du Ménoitiade. Puis, les Myrmidones quittèrent leurs splendides armes d'airain, dételèrent leurs chevaux hennissants et s'assirent en foule autour de la nef du rapide Aiakide, qui leur offrit le repas funèbre.

Et le troisième chef était le brave Peisandros Maimalide qui excellait au combat de la lance, parmi les Myrmidones, après Patroklos. Et le quatrième chef était le vieux cavalier Phoinix, et le cinquième était l'irréprochable Akhimédôn, fils de Laerkeus.

Et Akhilleus, les ayant tous rangés sous leurs chefs, leur dit en paroles sévères: Myrmidones, qu'aucun de vous n'oublie les menaces que, dans les nefs rapides, vous adressiez aux Troiens, durant les jours de ma colère, quand vous m'accusiez moi-même, disant:

De même que des loups mangeurs de chair crue et pleins d'une grande force qui, dévorant un grand cerf rameux qu'ils ont tué sur les montagnes, vont en troupe, la gueule rouge de sang et vomissant le sang, laper de leurs langues légères les eaux de la source noire, tandis que leur ventre s'enfle et que leur coeur est toujours intrépide; de même les chefs des Myrmidones se pressaient autour du brave compagnon du rapide Aiakide.

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