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Mis à jour: 26 juillet 2025
Premierement, se c'est vostre plaisance, Recommandez moy, sans point l'oublier, A ma Dame; ayez en souvenance, Et lui dictes, je vous pry et requier, Les maulx que j'ay quant me fault eslongnier, Maugré mon vueil, sa doulce compaignie; Vous savez bien que c'est de tel mestier, Il ne faut ja que plus je vous en die.
L'Empereur est en peine de vous, Et vous mande par moy d'aller en diligence Le trouver au Palais pour chose d'importance. Pour chose d'importance? en cette occasion J'ay peine
Et luy qui fut bon chevallier Saillyt sus sans faire demeure Si feiz je de l'autre quartier Il empoigne son branc d'assier Pour moy fierement courrir seure Ma lance que je congneuz seure De regime qu'on me fist prendre Mis en mes mains pour me deffendre
Seigneur, au nom d'un fils que vous croyez perdu, Et qui dans peu de temps vous doit estre rendu, Je vous veux conjurer d'une chose assez grande, Mais legere pour vous. Quelle est donc ta demande, Parle, mais si tu veux appaiser mes soucis, Dis moy ce que tu sçais de mon cher Alexis.
Et pour entrer en telz destroiz Il te fault une bannerolle Qui sera faicte de la croix Pour te servir deux fois ou trois Contre charme sort ou parolle Aprens & retiens mon escolle Et je t'asseure par moy croire D'avoir ta part de la victoire
O Dieux! qui connoissez mon amour mieux que moy, Venez parler de grace en faveur de ma foy, Ou si vostre grandeur repugne
Va Tyran! n'attens pas d'Orosmane & de moy, Que la crainte nous rende aussi lâches que toy, Dieux! qui de Nicanor souffrant les injustices, Semblez ses protecteurs, ou plustost ses complices, Par de rares vertus estre semblable
Je le fis d'abord que je l'eus quitté, & comme nous avions les mêmes sentimens elle & moy, & que nous ne songions qu'
Prenez conseil, quant c'est pour vostre affaire, Et pour le mieulx, croyez sans plus le mien. Hola, hola, etc. En songe, souhaid et pensée Vous voy chascun jour de sepmaine, Combien qu'estes de moy loingtaine, Belle, tres loyaument amée, Pour ce qu'estes la mieulx parée De toute plaisance mondaine. En songe, etc. Vous voy, etc.
Dieu a povoir de la reffraindre, Et Raison, qui ne doit riens craindre, De moy aider s'essayera. Ou Loyaulté, etc. Des amoureux de l'observance, Dont j'ay esté ou temps passé, A present m'en treuve lassé Du tout, sinon de souvenance. Ou je prens d'en parler plaisance, Quoy que suis de l'ordre cassé. Des amoureux, etc. Dont j'ay esté, etc.
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