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Combien étaient fondés mes tristes pressentiments! Mon pauvre directeur devait mourir le surlendemain. Presque au même moment, je devais apprendre que Daudet, lui dont l'existence avait été si admirablement remplie, entendait sa dernière heure sonner

Il faut que tu sois bien mon ami pour que je te dise tout cela. Je n'ai pas besoin de te demander le silence. Tu comprends qu'il faut des ménagements pour ma mère. J'aimerais mieux mourir que de lui causer une minute de peine.

C'est peu divertissant, dit d'Artagnan. Je vous assure que cela donne des pensées saintes, répliqua Planchet. Ah! je ne dis pas. Mais, continua Planchet, nous devons mourir un jour, et il y a quelque part une maxime que j'ai retenue, celle-ci: «C'est une salutaire pensée que la pensée de la mortJe ne vous dis pas le contraire, fit Porthos.

On comptait sur le rédacteur du Bilboquet pour organiser des scies désopilantes; mais il se trouva que Romain goûta modérément les excellentes plaisanteries de ses collègues. Ils venaient de faire mourir de chagrin un pauvre vieil employé égaré parmi eux. Ils étaient en train d'en envoyer un autre

Avant de mourir il parla en latin sans savoir le latin! Soyez anéantis, pécheurs! Vous, malgré que vous l'ayez étudié, que l'on vous ait donné des coups pour vous le faire apprendre, vous ne parlez pas le latin, vous mourrez sans le parler! Parler latin est une grâce de Dieu, c'est pour cela que l'

La mère tremblait de le voir mourir, et regardait le pauvre petit être avec une tristesse déj

Comme ceux qui recherchent les parfums arrachent souvent une fleur et la placent sur leur sein, la placent pour y mourir, ainsi nous portons dans notre cœur le fragile objet de notre amour; mais c'est pour l'y voir bientôt périr.

Tandis que, vous le voyez bien, je ne veux pas même de la douce compensation de votre amour, de votre amour qui est ma vie, cependant, puisque j'ai voulu mourir, croyant que vous ne m'aimiez plus.

Fernande s'arrêta; ce souvenir la brisait. M. de Kardigân écoutait la tête baissée, ses larmes ne s'étaient pas arrêtées. Elles coulaient sur son visage pâle et, par instants, des frissons l'agitaient. Alors le chef de ces hommes s'avança vers moi: Mademoiselle, me dit-il, votre père va mourir. Vous seule pouvez le sauver. Veuillez me suivre. Il m'entraîna dans une hutte de feuillages.

Ne pleurez pas ainsi, Rosa, dit le prisonnier ; car vos larmes m'attendrissent bien plus que ma mort prochaine. Et, vous le savez, plus le prisonnier est innocent, plus il doit mourir avec calme et même avec joie, puisqu'il meurt martyr. Voyons, ne pleurez plus et dites-moi vos désirs, ma belle Rosa. La jeune fille se laissa glisser