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Mis à jour: 5 juin 2025
Je mordais mon mouchoir de colère; mais, dévorée par une idée fixe, je me levai, et je lui dis avec force: Vous prétendez que Leoni vous autorise
Mouret avait relevé la tête, et il lui tapa de nouveau sur le genou, il répéta avec la gaieté solide d'un gaillard sans honte pour le métier qui l'enrichissait: Calicot, en plein!... Ma foi, tu te rappelles, je ne mordais guère
Oh! monsieur l'abbé, dit ma mère, il est vrai que le vin attire les abeilles, surtout quand il est doux. Mais il ne faut pas souhaiter que ces méchantes mouches se posent sur les lèvres de mon Jacquot, car leur piqûre est cruelle. Un jour que je mordais dans une pêche, je fus piquée
Depuis ce jour on fut bien plus sévère pour moi; on voulut m'enfermer, mais j'avais trouvé moyen d'ouvrir toutes les barrières avec mes dents; si c'était un loquet, je le levais; si c'était un bouton, je le tournais; si c'était un verrou, je le poussais. J'entrais partout, je sortais de partout. Le fermier jurait, grondait, me battait: il devenait méchant pour moi, et moi, je l'étais de plus en plus pour lui. Je me sentais malheureux par ma faute; je comparais ma vie misérable avec celle que je menais autrefois chez ces mêmes maîtres; mais, au lieu de me corriger, je devenais de plus en plus entêté et méchant. Un jour, j'entrai dans le potager, je mangeai toute la salade; un autre jour, je jetai par terre son petit garçon, qui m'avait dénoncé; une autre fois, je bus un baquet de crème qu'on avait mis dehors pour battre du beurre. J'écrasais leurs poulets, leurs petits dindons, je mordais leurs cochons; enfin je devins si méchant, que la maîtresse demanda
Encore qu'il ne raisonnât pas plus sottement qu'un autre, il était si peu capable d'écouter et de se payer des choses qu'il n'entendait guère, il marquait si peu de goût pour les enseignements, que je m'en étonnais, moi qui y mordais assez franchement quand je venais
Elle continua: Voyez-vous, vous êtes perdu! Maintenant personne ne sortira de la barricade. C'est moi qui vous ai amené ici, tiens! Vous allez mourir. J'y compte bien. Et pourtant, quand j'ai vu qu'on vous visait, j'ai mis la main sur la bouche du canon de fusil. Comme c'est drôle! Mais c'est que je voulais mourir avant vous. Quand j'ai reçu cette balle, je me suis traînée ici, on ne m'a pas vue, on ne m'a pas ramassée. Je vous attendais, je disais: Il ne viendra donc pas? Oh! si vous saviez, je mordais ma blouse, je souffrais tant! Maintenant je suis bien. Vous rappelez-vous le jour où je suis entrée dans votre chambre et où je me suis mirée dans votre miroir, et le jour où je vous ai rencontré sur le boulevard près des femmes en journée? Comme les oiseaux chantaient! Il n'y a pas bien longtemps. Vous m'avez donné cent sous, et je vous ai dit: Je ne veux pas de votre argent. Avez-vous ramassé votre pièce au moins? Vous n'êtes pas riche. Je n'ai pas pensé
Je méprisais ce camarade; je passais toujours devant lui, je ruais et je le mordais s'il cherchait
Il ne fut pas longtemps sans reconnaître que je mordais
Et pendant qu'elle me parlait, je mordais, obstiné, le bois humecté de mon sang fraîchement répandu, et je me félicitais de sentir croître les sombres ailes de la mort qui se déployaient lentement au-dessous de mon cou mutilé. Toutes les chauves-souris du crépuscule m'effleuraient caressante, en me disant: Prends des ailes!... et je commençais
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