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Le lendemain, je marchai sur Popina. La division Montrichard et l'artillerie s'y rendirent par la vallée, tandis que je m'y portai par les montagnes avec la division Clausel. Les retranchements étaient placés au point ou la route quitte les bords de la rivière. Un développement suffisant, de bons appuis, rendaient l'attaque difficile. À peine étais-je occupé

Cette première journée, un tiers de l'armée au plus s'était trouvé engagé contre toute l'armée ennemie, n'avait pas été heureuse. Macdonald, ignorant l'arrivée de Suwarow, s'était trop hâté. Il résolut de s'établir derrière la Trebbia, d'y réunir toutes ses divisions, et de venger l'échec qu'il venait d'essuyer. Malheureusement, les divisions Olivier, Montrichard et Watrin étaient encore en arrière sur la Nura, et il résolut d'attendre le surlendemain, c'est-

Le 9 décembre au matin (18 frimaire), Lecourbe commença les travaux du passage devant Neubeurn. C'était la division Montrichard qui devait franchir l'Inn la première. Le général Lemaire plaça sur les hauteurs de la rive gauche une batterie de 28 pièces de canon, et balaya tout ce qui se présentait sur la rive droite. Il n'y avait dans cette partie de l'Inn que le corps de Condé, trop faible pour opposer une résistance sérieuse. Après avoir écarté par un feu continu d'artillerie tous les détachements ennemis, les pontonniers se jetèrent dans des barques, suivis de quelques bataillons d'élite, destinés

«Un événement aussi étrange qu'imprévu m'a empêché d'arriver le 25 devant Gratz, ainsi que je vous l'avais annoncé: le général Montrichard, sans motif et sans prétexte, a trouvé convenable de ne pas marcher le 25; et, comme je l'attendais pour déboucher, mon mouvement a été d'abord suspendu, et j'ai éprouvé sur son compte les plus vives inquiétudes. De nombreux officiers que j'avais envoyés m'ont enfin appris qu'il était resté sur les montagnes de Pack. Je l'ai fait partir dans la nuit, mais il était trop tard pour qu'il n'y eût pas un jour de perdu. Je profite de cette occasion pour supplier Votre Altesse Sérénissime d'obtenir de Sa Majesté le changement du général Montrichard; c'est la dixième fois qu'il compromet le sort de l'armée par sa conduite irréfléchie et son insouciance: c'est un de ces hommes qui ne peuvent que causer des événements malheureux

Je laissai la division Montrichard en observation devant le grand débouché de la Zermagna, et je la plaçai de manière

Les dragons ne firent qu'une brève halte dans les bois. Ils défilèrent entre les bataillons du général Montrichard, qui, émus par la canonnade, attendaient, en silence, derrière les faisceaux, le mouvement de la division Vandamme encore en route

La conduite des Croates, dans cette circonstance, ne me causa point de surprise; je connaissais leur attachement pour le gouvernement autrichien. Presque toutes les autres parties des provinces illyriennes suivirent l'exemple de la Croatie. Bientôt même les villes de Zara, Raguse et Cattaro, défendues par les généraux Roise, Montrichard et Gauthier, avec de faibles garnisons italiennes et quelques employés français, furent assiégées par des troupes autrichiennes, auxquelles se joignirent des bandes de Dalmates. Au premier avis de ces mouvemens, j'avais fait mettre en état de défense les châteaux de Laybach et de Trieste. Instruit que le général autrichien Hiller, commandant en chef l'armée ennemie, réunissait près de Clagenfurt la plus grande partie de ses forces, pour forcer Willach et Tarvis, et pénétrer ensuite dans le Tyrol par la vallée de la Drave, j'en donnai avis au prince vice-roi. Déj

«À peine ce mouvement fut-il exécuté, que l'ennemi déboucha par le pont de Bilay et marcha sur la division Montrichard, qui suivait la division Clausel. Je donnai l'ordre immédiatement au général Clausel de faire passer au général Delzons, avec le 8e régiment d'infanterie légère, la petite rivière qui était devant nous, afin d'occuper les mamelons dont s'étaient emparés les voltigeurs, et de les défendre avec le plus d'opiniâtreté possible s'il y était attaqué. Je lui donnai également l'ordre de rapprocher un peu les autres régiments de la division, de manière

Le lieutenant-général Sainte-Suzanne commandant la gauche: les divisions Souham et Legrand; le lieutenant-général Saint-Cyr commandant le centre: les divisions Baraguai-d'Hilliers et Ney; le général en chef commandant la réserve: les divisions Delmas, Leclerc et Richepanse; le lieutenant-général Lecourbe commandant la droite: les divisions Vandamme, Montrichard et Lorge.

Lecourbe repassa sur la rive droite du Danube, se porta sur Rain et Neubourg. Kray était en position avec vingt-cinq mille hommes. En avant de cette ville, sur la rive droite du Danube, Montrichard, qui osa l'y attaquer, fut vivement repoussé et ramené pendant deux lieues. Lecourbe rétablit le combat avec la division Grandjean: la valeur des troupes et l'énergie du général remédièrent au mal qui eût pu être beaucoup plus grand. Le champ de bataille resta