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Mis à jour: 2 juin 2025
Elle souriait, elle aussi, en prononçant ces phrases et d'autres pareilles, avec un peu de cette ironie défensive qu'avait eue Roger quelques instants auparavant, pour parler d'elle. Cependant, et je sentis cela sur place, avec une extrême intensité, il y avait, dans leurs railleries-paratonnerres, cette différence. La jeune Américaine avait beau être touchée de snobisme international, comme l'attestait l'abus des références nobiliaires rappelées dans sa conversation, elle était profondément, intimement fière de son pays. Si l'on eût fait un écho trop fidèle aux critiques qu'elle se permettait sur sa patrie, ses beaux yeux bleus se fussent foncés bien vite d'irritation. Montglat, au contraire, malgré ses allures de Parisien blasé, avait un peu honte de viser un mariage si riche, et il y avait dans son ironie
C'est pour divertir une de ses maîtresses, madame de Montglat, qu'en 1659 ou en 1660 il composa l'Histoire amoureuse des Gaules. Cette histoire, qui n'avoit de romanesque que les noms sous lesquels paroissoient les personnages, et qui peignoit avec beaucoup d'agrément les aventures des principaux seigneurs et des plus belles dames de la cour, ne manqua pas d'être connue partout de réputation. Bussy-Rabutin la lisoit lui-même, et très volontiers,
«François de Paule de Clermont, marquis de Montglat, étoit de l'illustre et ancienne maison de Clermont, originaire d'Anjou, d'où sont sorties les branches de Clermont, de Galerande, d'Amboise, de Saint-Georges et de Resnel. Il étoit chef de la branche de Saint-Georges. Il fut chevalier des ordres du roi, grand-maître de la garde-robe et maréchal de camp.
Pour ce qui est de l'époux de notre demoiselle, le même embarras subsiste. Je vois un abbé de Richou ou Richoux, amant de madame de Montglat (V. Montglat, p. 40). Est-ce un parent? Je vois un Ricous au passage du Rhin (Relation de Guiche, Coll. Michaud, p. 338). Qui est ce Ricous? Je vois un Ricousse que La Roche Foucauld prie de tuer le cardinal de Retz (Retz, p. 298). Cela se rapproche. Et un M. de Ricousse, que Condé donne
N'ayez pas de mauvaise humeur contre l'inévitable. Il faut que les chefs-d'oeuvre voyagent et aillent porter loin du pays où il sont nés leur message de beauté... C'est du pur Ruskin, cela, n'est-il pas vrai, miss Jessie?... «Il paraît,» répondit miss Macdougall en s'efforçant de rire «que M. de Montglat n'est pas ruskinien... On dirait qu'il m'en veut d'avoir raconté cette histoire...»
Dans l'affaire dont Bussy donne les détails, Montglat (p. 309) indique bien le rôle que Mazarin fit jouer
«Comment, fait faire?» répondit la jeune Américaine avec un peu d'indignation, «mais c'est un morceau absolument authentique, du plus pur quinzième siècle. Nous l'avons acheté au cours de notre voyage en Touraine, maman et moi, dans un vieux château; on l'a transporté ici, poutre par poutre... Maman a sans doute été obligée de sortir, car je ne la trouve pas. Je vais vous montrer seule nos quelques bibelots. Ils ne sont pas tous aussi rares. Mais il n'y en a pas un qui ne soit authentique, entendez-vous, monsieur de Montglat, malgré votre peu de confiance dans notre goût,
Son père, Hardouin de Clermont, avait épousé, en 1598, une fille de Robert, baron de Montglat. François de Simiane, marquis de Gordes. Jacques-François, marquis de Hautefort. François d'Espinay, marquis de Saint-Luc. Son père, Timoléon d'Espinay, ne prend pas ce titre de Saint-Luc. Antoine de Brouilli, marquis de Piennes.
Bussy, qui fut l'un des amants de madame de Montglat, et, par conséquent, l'un des oppresseurs de M. de Monglat, ne se fait pas faute de rire de ses infortunes.
«Des barbares qui conquièrent tout ce qu'il y a de beau en Europe,» dit Montglat... «Mais c'est un musée ici... Que de merveilles!» répétait-il, «que de merveilles!...»
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