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Mis à jour: 9 juin 2025


Monsieur le comte de Montbron! dit Georgette en ouvrant la porte. Le comte entra, et alla baiser la main d'Adrienne avec une sorte de familiarité paternelle. Allons! se dit M. de Montbron, tâchons de savoir la vérité que je viens chercher, afin d'éviter peut-être un grand malheur. III. Les aveux.

La salle immense de la Porte-Saint-Martin était remplie d'une foule impatiente. Ainsi que M. de Montbron l'avait dit

M. de Montbron, s'avançant alors au dehors de la portière et tendant ses mains

Le comte de Montbron est, depuis trois jours, parti pour la Lorraine... voil

À en mourir... vous dis-je, je l'ai vu... Adrienne fit un mouvement de stupeur; de pâle qu'elle était elle devint pourpre, puis cette rougeur disparut, ses lèvres blanchirent et tremblèrent: son émotion fut si vive qu'elle resta quelques moments sans pouvoir parler, et mit la main sur son coeur comme pour en comprimer les battements. M. de Montbron, presque effrayé du changement subit de la physionomie d'Adrienne, de l'altération croissante de ses traits, se rapprocha vivement d'elle et s'écria: Mon Dieu! ma pauvre enfant, qu'avez-vous! Au lieu de lui répondre, Adrienne lui fit un signe de la main comme pour le rassurer; le comte, en effet, se rassura, car le visage de la jeune fille, naguère contracté par la douleur, l'ironie et le dédain, semblait renaître au milieu des émotions les plus douces, les plus ineffables; l'impression qu'elle éprouvait était si enivrante, qu'elle semblait s'y complaire et craindre d'en perdre le moindre sentiment; puis la réflexion lui disant que peut-être elle était la dupe d'une illusion ou d'un mensonge, elle s'écria tout

Au lieu de répondre, M. de Montbron semblait de plus en plus absorbé, pensif, en contemplant la jeune fille, et il ne put s'empêcher de dire en se parlant

Complètement rassurée sur Djalma, sachant qu'il trouverait quelques lignes qui, sans lui apprendre le bonheur qu'il attendait, le lui feraient du moins pressentir, Adrienne, écoutant le conseil de M. de Montbron, était allée

Mlle de Cardoville, blessée de la façon dont le comte parlait du sentiment qu'il lui supposait, reprit avec une dignité hautaine: Vous devez savoir, monsieur de Montbron, qu'un secret surpris... n'est pas une confidence, et votre langage m'étonne...

Je le vois, ma chère enfant... Rappelez-vous donc le nom du comte de Montbron... Le comte de Montbron... Je ne l'oublierai pas. C'est un de mes bons vieux amis; il demeure place Vendôme, numéro 7. Place Vendôme, numéro 7... Je retiendrai cette adresse.

Tous ceux qui ont raconté les derniers moments des victimes sont des émigrés échappés au même sort; et, dans les récits de tous on retrouve le même sentiment; soit qu'ils écrivent le lendemain du désastre, comme Chaumereix, ou de longues années après, comme la Villegourio, le Charron, Montbron, Villeneuve, ou Berthier de Grandry, c'est la même tristesse calme, tant elle est profonde . Ils ne récriminent pas, ils n'ont ni emportement ni amertume: la haine contre leurs bourreaux, le dédain pour leurs chefs inhabiles ou imprudents, toutes les basses ou mesquines passions se sont envolées de leur âme, une seule impression demeure. Ces victimes, leurs compagnons d'armes, ces officiers qui avaient combattu dans l'Amérique et les Indes, ces jeunes gens, fleur de l'armée, ces enfants de quatorze ans, ce jeune Talhouet, qui se battait près de son frère, et

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