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Mis à jour: 6 juin 2025
Le temple où s'élaborent les bulles, les monitoires, les encycliques du parti, d'où partent ses anathèmes et ses excommunications, n'est guère imposant. C'est, au nº 9 de la rue de Valois, au-dessus d'un restaurant, un modeste appartement au troisième étage du vieux Palais Royal, Palais Egalité! Dans l'antichambre, où s'accroche le téléphone, trône, sur la cheminée, une République fleurie, étoilée, le col ceint de perles, la gorge aimablement dévoilée, point trop farouche, enfin. La salle du Conseil ouvre par des fenêtres carrées c'est l'étage en mezzanine du Palais sur le jardin. Nul apparat dans cette pièce qui voit, une fois par semaine, le jeudi, se réunir les Trente-Quatre: quelques portemanteaux aux murs, quelques chaises cannées autour d'une table recouverte d'un tapis de style vaguement Empire, et sur cette table deux sonnettes, comme si le président avait parfois
La Chambre de justice s'occupa, pendant les premiers mois de l'année 1662, de rechercher les financiers qui devaient être enveloppés dans le procès de Fouquet. Elle avait fait publier, dès le mois de décembre 1661, des monitoires dans chaque paroisse de Paris pour menacer d'excommunication ceux qui ne dénonceraient pas les traitants coupables de malversations. Des arrêts de prise de corps furent lancés contre Boylève, Bruant, Catelan, Gourville et autres financiers. Les trésoriers de l'
Toutes sortes de traditions et coutumes, en abomination aux autres provinces, s'y perpétuaient, malgré les anathèmes et les monitoires. La Kermesse s'y déchaînait en tourmentes charnelles plus sauvages et plus débridées qu'en Frise et qu'en Zélande, célèbres cependant par la frénésie de leurs fêtes votives, et il semblait que les femmes fussent possédées tous les ans,
Procès de Fouquet. Monitoires publiés par ordre de la Chambre de justice (décembre 1661). Arrêts de prise de corps contre Boylève, Bruant, Catelan et autres financiers. Les registres des trésoriers de l'
Non, décidément, je me contenterai de mes petits pains, tu ne subiras pas mes familiarités. Saint Thomas d'Aquin dit, en ses «Monitoires», qu'une trop grande familiarité engendre le mépris, en même temps qu'elle détourne de la contemplation et arrête l'esprit sur les extérieurs phantasmes.
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