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Mis à jour: 13 juin 2025


À quelques lieues de Mojaïsk, il fallut traverser la Kalougha. Ce n'était qu'un gros ruisseau: deux arbres, autant de chevalets et quelques planches, suffisaient pour en assurer le passage: mais le désordre était tel, et l'incurie si grande, que l'empereur y fut arrêté. On y noya plusieurs canons qu'on voulut faire passer au gué. Il semblait que chaque corps d'armée marchât pour son compte, qu'il n'y eût point d'état-major, point d'ordre général, point de noeud commun, rien qui liât tous ces corps ensemble. Et en effet, l'élévation de chacun de leurs chefs les rendait trop indépendans les uns des autres. L'empereur lui-même s'était tant grandi, qu'il se trouvait

En effet, Kutusof n'avait point désespéré du salut de sa patrie. Après s'être servi des milices, pendant le combat de Borodino, pour porter les munitions et relever les blessés, il venait d'en former le troisième rang de son armée. À Mojaïsk, sa bonne contenance lui avait fait gagner assez de temps pour mettre de l'ordre dans sa retraite, choisir ses blessés, abandonner ceux qui étaient incurables, et en embarrasser l'armée ennemie. Plus loin,

Pour l'empereur, il n'arriva sur le champ de bataille qu'avec la nuit, et suivi de forces insuffisantes. On le vit s'avancer vers Mojaïsk, marchant d'un pas encore plus lent que la veille, et dans une telle absorption, qu'il semblait ne pas entendre le bruit du combat, ni les boulets qui arrivaient jusqu'

Cassel, 28 septembre 1812. Vendredi dernier, le roi me fit encore appeler dans son cabinet. Il n'est pas besoin de dire que la victoire de Mojaisk, la part qu'y ont eue les troupes westphaliennes, le problème de l'entrée ou paisible ou sanglante dans Moscou furent le thème principal de cet entretien qui ensuite est devenu aussi vague que la conversation précédente dont j'ai rendu compte

Mais le roi, fougueux comme au commencement de la campagne et de sa vie militaire, n'en tint compte: il appelait sa cavalerie; il lui criait avec fureur d'avancer, de charger, d'enfoncer ces bataillons, ces portes, ces murailles! son aide-de-camp lui objectait en vain l'impossibilité; il lui-montrait cette armée sur la hauteur opposée, qui commandait Mojaïsk, et ce ravin le reste de nos cavaliers était prêt

Le 9 septembre nous montra Mojaïsk debout et ouverte; mais en deç

Tout le monde s'est distingué: le roi de Naples et le duc d'Elchingen se sont fait remarquer. L'artillerie, et surtout celle de la garde, s'est surpassée. Des rapports détaillés feront connaître les actions qui ont illustré cette journée. De notre camp impérial de Mojaïsk, le 10 septembre 1812. Aux évêques de France.

C'était dans ce même instant que Napoléon ordonnait aux siens de se retirer vers le nord, sur Mojaïsk. Les deux armées se tournèrent donc le dos, en se trompant mutuellement par leurs arrière-gardes.

LE 28 octobre, nous revîmes Mojaïsk. Cette ville était encore remplie de blessés; les uns furent emportés, les autres réunis et abandonnés, comme

Tous les malades qui étaient aux hôpitaux de Moscou, ont été évacués dans les journées du 15, du 16, du 17 et du 18 sur Mojaïsk et Smolensk. Les caissons d'artillerie, les munitions prises, et une grande quantité de choses curieuses, et des trophées, ont été emballés et sont partis le 15. L'armée a reçu l'ordre de faire du biscuit pour vingt jours, et de se tenir prête

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