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Mis à jour: 6 juin 2025
Avec la jovialité d'un ivrogne, il lui adresse la parole; rien n'est plus comique que la demi-clarté qui pénètre dans ses idées embrouillées: pourquoi cet étranger a-t-il une faux? Ce n'est pourtant pas le moment de la moisson.
La moisson venait de finir et des meules au milieu des champs dressaient leurs masses noires sur la couleur de la nuit, bleuâtre et douce. Les fermes étaient tranquilles. On n
Toujours est-il, qu'un jour d'été, quelque temps après la moisson, on foulait nos gerbes, et tous les gens du "mas" étaient dans l'aire
Marie eut un léger cri d'admiration, montrant Paris du geste. Voyez donc! voyez donc! Paris tout en or, Paris couvert de sa moisson d'or!
Ils ont lui tout le jour en longs grêlons de flamme, Battant toute vendange aux collines, couchant Toute moisson de la vallée, et ravageant Le ciel tout bleu, le ciel, chanteur qui te réclame. O pâlis, et va-t'en, lente et joignant les mains. Si ces hiers allaient manger nos beaux demains? Si la vieille folie était encore en route? Ces souvenirs, va-t-il falloir les retuer?
Le rocher fortifié de Drachenfels domine avec orgueil le Rhin large et sinueux, dont les eaux majestueuses se déroulent entre des bords couverts de pampres; les collines sont décorées d'arbres en fleurs, et les champs des prémices de la moisson et des vendanges.
Fichtre! dit Massot, devenu sérieux, c'est alors mieux qu'un triomphe, ici, c'est encore la promesse d'une moisson nouvelle. Je ne m'étonne plus si l'on s'écrase! A ce moment, les orgues éclatèrent puissamment en un chant de glorieux accueil. C'était le cortège qui faisait enfin son entrée dans l'église.
»Quand on a récolté une pareille moisson de lauriers, quand on a remporté une aussi éclatante victoire, il semblerait qu'on soit en droit de goûter un repos mérité. Or, tel n'est pas l'avis de ce Hongrois étonnant, qui se prépare
Montaient avec le jour; et, dans les intervalles, Sous des doigts de quinze ans répétant leur leçon, Les claviers résonnaient ainsi que des cigales Qui font tinter l'oreille au temps de la moisson! Puis ces bruits d'année en année Baissèrent d'une vie, hélas! et d'une voix. Une fenêtre en deuil,
C'est lui qui, de la terre, en épis ou en paille, Faisait pousser le blé et grandir la moisson, Et qui, roi des troupeaux que l'étable embercaille, Leur fait croître la corne et friser la toison; C'est lui qui surveillait la vendange et la cueille, Conduisait la charrue et guidait le labour, Et qui, dans les vergers, abrite sous la feuille Le fruit qui, mûr enfin, sera graine
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