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Mis à jour: 2 mai 2025


Un jeune garde national passe sur notre boulevard, pleurant, pleurant comme un enfant. Est-ce un père? est-ce un frère qu'il pleure? Toute la matinée, canonnade autour d'Issy, autour de Neuilly. Feu foudroyant de canons, de mitrailleuses, de mousqueterie, un feu comme je n'en ai jamais entendu du temps des Prussiens.

Un vieux monsieur l'accapara pour lui parler de Magenta, de Solferino, des mitrailleuses de 70. Trois dames se suspendaient

La batterie qui tirait sur notre front appuyait le travail des pontonniers qu'on voyait sur les deux rives et dans l'eau, ajustant les barques et les cordes; nous avions repris nos sacs. Trois mitrailleuses furent amenées sur le bord de la Marne et fouillèrent les taillis qui nous faisaient face sur la rive opposée. On voyait sauter les branches et des paquets de terre; rien n'en sortit.

Petit et insignifiant épisode. Plusieurs maisons nous masquaient le coin le plus chaud du champ de bataille; mais un vacarme incessant nous permettait d'apprécier l'intensité de la lutte. Crépitation de la mousqueterie, grondement des canons ou grincement strident des mitrailleuses, se combinaient avec une sorte de long mugissement ininterrompu, qui était le cinglement de l'air par tous les projectiles. A notre gauche nous apercevions un régiment de mobiles qui criblait de feux de salve les positions de Cravant. Une batterie, postée

De toutes les fenêtres, de tous les toits, la fusillade fut engagée, même avec des mitrailleuses que servaient des étudiants. Il fallut vingt-quatre heures avant que le feu ne fût complètement éteint.

La haie avait été coupée sur l'autre côté de la route, et dans la prairie des mitrailleuses étaient braquées vers nous. Un aumônier allemand, parlant le français, passa devant nous et serra la main aux hommes. Puis un colonel arrive et dit en français que pour avoir tiré sur les troupes allemandes, nous méritons d'être tous fusillés; mais que nous serons seulement emmenés prisonniers en Ardenne.

Puis, reprenant le journal, lisant: Cent cinquante mille prisonniers, cent cinquante-trois aigles et drapeaux, cinq cent quarante et un canons de campagne, soixante-seize mitrailleuses, huit cents canons de forteresse, trois cent mille fusils, deux mille voitures d'équipages militaires, du matériel pour quatre-vingt-cinq batteries...

Le rexer est, en réalité, une sorte de gros mousquet. On peut voir sur nos photographies combien sont réduites ses dimensions. Il ne pèse que 8 kilogrammes, alors que le poids de la moins lourde des mitrailleuses en service est de 37 kilogrammes. Un fantassin le porte aisément

Des engagements ont commencé lundi, entre Saint-Trond et Tirlemont, mettant aux prises des forces importantes de cavalerie allemande pourvues de mitrailleuses et des lanciers belges envoyés contre elles. La lutte se poursuit aujourd'hui. Landen, occupé momentanément par les Allemands, est repris. L'ennemi est partout tenu en respect. La cavalerie française est entrée sérieusement en action.

Mais on ne s'entendait plus, Maurice souffrait surtout de l'effroyable vacarme. La batterie voisine tirait sans relâche, d'un grondement continu dont la terre tremblait; et les mitrailleuses, plus encore, déchiraient l'air, intolérables. Est- ce qu'on allait rester ainsi longtemps, couchés au milieu des choux? On ne voyait toujours rien, on ne savait rien. Impossible d'avoir la moindre idée de la bataille: était-ce même une vraie, une grande bataille? Au-dessus de la ligne rase des champs, Maurice ne reconnaissait que le sommet arrondi et boisé du Hattoy, très loin, désert encore. D'ailleurs,

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barillet

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