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Mis à jour: 13 mai 2025
Tout le monde dans la province de Candahar connaît l'aventure du jeune Rustan. Il était fils unique d'un mirza du pays; c'est comme qui dirait marquis parmi nous, ou baron chez les Allemands. Le mirza, son père, avait un bien honnête. On devait marier le jeune Rustan
C'était ce moment que le chevalier attendait. Il ouvrit sa fenêtre, passa sa tête entre les deux battants entrouverts, et attendit. Au bout d'un instant, Mirza sortit
Mirza, qui la reconnaissait, n'aboyait pas et venait au contraire passer sa langue sur son visage. L'haleine chaude du cheval venait la caresser et elle s'endormait, paisiblement, heureuse, sans peur, au milieu de ses bêtes. Parfois un rugissement la réveillait. Les yeux fermés, ses lèvres murmuraient le nom de la bête... qu'elle reconnaissait au son de sa voix. Tiens!... Rachel qui ne dort pas!
Aussi était-il remonté tout joyeux, et, trouvant la fenêtre ouverte, s'était-il mis, malgré les avis charitables de Boniface, en communication immédiate avec Mirza, par le moyen corrupteur des morceaux de sucre. La rentrée inattendue de Bathilde avait interrompu cet exercice; le chevalier, dans son égoïste délicatesse, avait refermé sa fenêtre; mais avant que la fenêtre fût refermée, un salut avait été échangé entre les deux jeunes gens. C'était plus que Bathilde n'avait encore accordé
Le jeune mirza avait deux favoris qui lui servaient de secrétaires, d'écuyers, de maîtres-d'hôtel, et de valets de chambre. L'un s'appelait Topaze; il était beau, bien fait, blanc comme une Circassienne, doux et serviable comme un Arménien, sage comme un Guèbre, l'autre se nommait
L'ambassadeur persan, Mirza Mohammed Ali-Khan, était un courtisan insignifiant, envoyé en France par le schah son maître, plutôt par vanité que par dessein sérieux, peut-être pour satisfaire
A l'âge de soixante-trois ans, Mirza Mohamed Khan était si mince de corps que, de loin, on l'eût pris pour un jeune homme de quatorze
Juste sur son chemin, au milieu de la cour, un tas d'enfants, ceux de la maison et ceux des voisins attroupés autour de la loge de la chienne Mirza, contemplaient curieusement quelque chose, avec une attention concentrée et muette. Au milieu d'eux le baron, les mains derrière le dos, regardait aussi avec curiosité. On eût dit un maître d'école.
Alors, transporté de rage, le prince ordonna que Mirza-Serraf eût les yeux crevés. Cette sentence fut immédiatement exécutée. Un fer rouge fut appliqué sur le globe des yeux de l'infortuné Mirza, qui fut ainsi privé pour jamais de la lumière. Aveugle et désolé, il fut reconduit dans sa maison. Son fils unique Roushan, jeune homme de dix-neuf ans, étudiait alors
Ce que nous regrettons le plus dans le livre de sir Edwin Arnold, c'est son habitude d'écrire d'une façon qu'on ne peut vraiment appeler d'un autre nom que le pigeon english, quand nous apprenons que «Lady Duffreen, la Vice-Reine de la Puissante Reine» se promène parmi les charpoys du quartier, sans aucune crainte de sitla ou de tap, quand le Mirza s'explique ainsi: Couchettes. Maladies.
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