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Mis à jour: 21 mai 2025
C'est dans ce petit hôtel de la rue de Miromesnil qu'il en écrivit les premières lignes; c'est sous les ombrages des jardins, de Monceaux qu'Eudore, Valléda, Cymodocée lui apparurent pour la première fois.
La première fois que je pus sortir, je partis avec Rob Stewart, de ma compagnie, car on ne nous permettait de circuler que par couples, et je me rendis dans la rue de Miromesnil. Rob attendit dans le vestibule et, dès que je mis le pied sur le paillasson, je me trouvai en présence de ma cousine Edie, qui était toujours restée la même, et qui se mit
«Madame de Chateaubriand, lui Chateaubriand, les bons Saint-Germain que vous connaissez , un portier, une portière et je ne sais combien de petits portiers, logent ensemble rue de Miromesnil dans une jolie petite maison. Enfin, notre ami est le chef d'une tribu qui me paraît assez heureuse. Son bon génie et le ciel sont chargés du reste».
Il ne fut plus question, dès lors, de quitter Paris, mais tout au contraire d'y former un établissement définitif. Il fallut donc chercher une installation; on la trouva dès le mois d'avril, rue de Miromesnil, n° 1119, au coin de la rue Verte, aujourd'hui rue de la Pépinière. On numérotait alors les maisons par quartier et non par rue.
Après quoi, ce serviteur fidèle courut immédiatement au petit café de la rue de Miromesnil, où il avait rendez-vous avec le groom de la baronne d'en face, pour une partie de billard, en trente liés, avec défense de «queuter», bien entendu.
On ajouta un couvert. Fauchery se trouvait près de la comtesse Sabine, qui le surprenait par sa gaieté vive, elle qu'il avait vue si languissante, dans le salon sévère de la rue Miromesnil. Daguenet, assis
Le duc d'Antin avait dessiné lui-même cette mignarde croix de Saint-André pour la folie supplémentaire qu'il avait au hameau de Miromesnil. Dans le salon de la Folie-Gonzague, le plafond et les frises étaient de Vanloo l'aîné et de son fils Jean-Baptiste qui tenait alors le sceptre de la peinture française.
Donc le cercle se ferme autour de lui. Tous sont toréadors, et il est le taureau. Rien de plus grand que ce spectacle. Dans le mémorable duel qu'il eut avec le garde des sceaux Miromesnil, on sent
La comtesse Sabine, comme on avait pris l'habitude de nommer madame Muffat de Beuville, pour la distinguer de la mère du comte, morte l'année précédente, recevait tous les mardis, dans son hôtel de la rue Miromesnil, au coin de la rue de Penthièvre.
Je ne demeurai qu'un an dans la rue de Miromesnil, car la maison fut vendue. Je m'arrangeai avec madame la marquise de Coislin, qui me loua l'attique de son hôtel, place Louis XV .
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