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Mis à jour: 7 juin 2025
Nous allons vers la mosquée Djama-Kebir ou de Sidi-Okba, dont le haut minaret domine la ville et le désert qui l'isole du monde. Elle nous apparaît soudain, au détour d'une rue. C'est un immense et pesant bâtiment soutenu par d'énormes contreforts, une masse blanche, lourde, imposante, belle d'une beauté inexplicable et sauvage.
Les Osmanlis malades et blessés furent reçus et traités d'après les ordres du général en chef avec les mêmes soins que nos propres concitoyens dans cette même mosquée de Nensbek, qui leur avait servi de quartier-général pendant le siège, et du haut du minaret de laquelle le fanatisme avait appelé au nom du ciel sur nos têtes reprouvées la vengeance et la mort.
Derrière lui, le haut minaret, dressé dans le ciel noir comme un génie immense, semblait veiller sur cette petite cité silencieuse, endormie dans les vastes solitudes du désert. Il arriva haletant dans le dédale des chemins de l'oasis. Alors il ralentit le pas et se glissa derrière le mur du jardin du Muezzin. Il écouta.
....Soudain, comme un bouquet d'étoiles, une grande mélodie claire s'égrenait doucement dans le ciel, et, sur le minaret de la mosquée voisine, un beau muezzin apparaissait, découpant son ombre blanche dans le bleu profond de la nuit, et chantant la gloire d'Allah avec une voix merveilleuse qui remplissait l'horizon.
Partout, sur la terre, sur les roches et sur l'herbe rase, une teinte uniforme d'un gris roux, qui est comme la patine du temps; on dirait qu'une cendre recouvre ce pays, sur lequel trop de races d'hommes ont passé, trop de civilisations, trop d'épuisantes splendeurs. Et, de loin en loin, au milieu de ces espèces de landes de l'abandon, quelque minaret blanc entouré de cyprès noirs.
Dans la nuit commençante, éclairée par les flammes du minaret comme par un gigantesque flambeau, deux hommes, au milieu de la place, se livraient un combat furieux. Ils étaient le centre et le pivot d'une lutte acharnée. Autour d'eux, soldats bulgares et bachi-bouzouks se fusillaient, se déchiraient, se taillaient en pièces. Il y avait cinquante engagements partiels, mais on ne voyait que celui-l
Voici un minaret d'au moins soixante mètres, immense et isolé, qui penche plus que la tour de Pise, qui penche
La caravane humaine au Zaharah du monde, Par ce chemin des ans qui n'a pas de retour, S'en va traînant le pied, brûlée aux feux du jour, Et buvant sur ses bras la sueur qui l'inonde. Le grand lion rugit et la tempête gronde; A l'horizon fuyard, ni minaret, ni tour; La seule ombre qu'on ait, c'est l'ombre du vautour, Qui traverse le ciel cherchant sa proie immonde.
La Mouski mène aux tombeaux des Khalifes, où j'ai été deux fois, de jour d'abord, pour jouir pleinement de la beauté de Quaït baï, charmante mosquée du XVIe siècle, vrai bijou de pierre dentelée, chef-d'oeuvre de hardiesse et de grâce. Le minaret monte comme une flèche dans l'air pur. La coupole semble un miracle d'équilibre. Le plafond, en bois sculpté et peint, flatte et caresse les yeux. Une douce lumière tombe des petites fenêtres. Impossible de rêver, pour les fleurs des vitraux, des couleurs plus franches, plus discrètes et plus pures. Sous le porche, pendant que le gardien nous aide
Puis, la vieille ville et ses quartiers neufs s'illuminèrent comme par magie. Les mosquées, Sainte-Sophie, la Suleïmanièh, Sultan-Ahmed, tous les édifices religieux ou civils, depuis Seraï-Burnou jusqu'aux collines d'Eyoub, se couronnèrent de feux multicolores. Des versets lumineux, tendus d'un minaret
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