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Mis à jour: 12 octobre 2025
En voyant tomber leur commandant, les miliciens avaient fait feu d'instinct, puis s'étaient enfuis, sans s'apercevoir que les sauvages faisaient de même.
Ils ajoutent qu'au sortir de cette séance, on entendit les principaux nobles murmurer entre eux contre l'exagération d'une telle mesure. «Le danger était-il donc si pressant! l'armée russe, qu'on leur disait encore être de quatre cent mille hommes, n'existait-elle plus? Pourquoi donc leur enlever tant de paysans! Le service de ces miliciens ne serait, disait-on, que temporaire?
Vers les onze heures du matin, un des miliciens attacha son mouchoir
Le gouvernement des Etats-Unis ordonna d'enrôler 25 mille hommes, de lever 50 mille volontaires, et d'appeler 100 mille miliciens sous les armes pour la garde des côtes et des frontières. Le général Dearborn, vieil officier de la révolution, fut nommé commandant en chef des armées de la république. Mais ces masses d'hommes étaient plus formidables sur le papier que sur le champ de bataille. Le gouvernement américain manquait d'expérience pour les faire mouvoir d'une manière dangereuse pour la sûreté des possessions anglaises, qui n'auraient pu résister
De Williamsbourg, lord Cornwallis se retira sur Portsmouth, près de l'embouchure du James-River et par conséquent de la baie Chesapeak. La mer était libre pour lui et cette suite de mouvements rétrogrades semblait indiquer le projet d'évacuer la Virginie. La Fayette avait montré la plus grande habileté dans cette campagne, où, avec quinze cents miliciens seulement, il sut forcer
Ce poste de Près-de-Ville était défendu par quarante-sept hommes, dont trente Canadiens-Français sous le commandement du capitaine Chabot et du Sieur Alexandre Picard, huit miliciens et neuf marins Anglais servant comme artilleurs sous le capitaine Barnsfare, maître d'un transport retenu dans la rade. Le pignon du hangar qui s'élevait
Les miquelets et les miliciens fraternisent avec les marins français; tout le pays prend un air de fête. Les jeunes filles apportent des bouquets; tous les gens du canton, convaincus de la générosité du capitaine Sans-Peur, s'assemblent dans l'espoir qu'il leur donnera des marques de sa munificence...
[Note 8: Le système français avait un grand avantage; il favorisait l'élément guerrier: la population était formée entièrement de soldats et de miliciens (Parkman). L'occupation principale était un continuel apprentissage de la guerre dans les bois. La haute classe regardait la guerre comme la seule occupation digne d'elle, et elle estimait l'honneur plus que la vie. Pour ce qui est de l'habitant, les bois, les lacs, les cours d'eau étaient ses lieux d'étude, et l
Cette ville ne renfermait alors qu'une population de 5,000 âmes. La garnison, composée de 1,800 hommes, dont 550 Canadiens, était un mélange de soldats, de miliciens et de matelots, abondamment pourvu de munitions de guerre et de bouche pour huit mois. Les fortifications avaient été considérablement augmentées depuis la dernière guerre; et depuis le commencement des hostilités on n'avait pas cessé de les perfectionner. Les murailles, du côté de la campagne, étaient munies de banquettes, de parapets et d'embrasures garnies de canon et de quelques batteries de mortiers. Du côté de la rivière St.-Charles et du fleuve, régnaient, sur le bord du cap au-dessus de la basse-ville, des palissades ou des murs hérissés de grosses batteries. La basse-ville elle-même était défendue, au centre, du côté du rivage, par des batteries placées sur les quais, et vers ses deux extrémités, par des barricades. Au bout de la rue Champlain, dans un endroit qui se trouve aujourd'hui au-dessous de la citadelle, l'on avait placé deux barrières
La situation ne pouvait pas être plus périlleuse: elle semblait désespérée. L'Amérique avait un habile général, mais elle n'avait pas d'armée régulière. Manquant d'armes, de munitions, de vivres, de vêtements même pour les soldats, Washington était obligé de lutter contre des troupes régulières, bien conduites, fournies de tout, avec des miliciens braves mais mal organisés, qui arrivaient et se retiraient selon le terme de leurs engagements, et qui conservèrent longtemps l'indiscipline de l'insurrection. Le congrès lui-même exerçait une souveraineté générale, faible et mal obéie. Il ne pouvait ni faire des lois obligatoires pour les
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