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Mis à jour: 12 juin 2025
Han a jusqu'ici été aussi imprenable qu'Horatius surnommé Coclès. Vieux soldats, jeunes miliciens, campagnards, montagnards, tout meurt ou tout fuit devant lui. C'est un démon qu'on ne saurait éviter ni atteindre; ce qui peut arriver de plus heureux
Soldats en hautes bottes, en justaucorps de buffle, miliciens en habits rouges, gens de Taunton aux figures brunes et graves, piqueurs vêtus de serge, mineurs en guenilles, aux traits sauvages, paysans en houppelandes, gens de mer téméraires, aux faces hâlées par les intempéries, montagnards dégingandés de la côte du nord, tout ce monde se poussait, se bousculait en une cohue compacte, bariolée.
Il se calma au récit que lui fit Pascalon des sinistres aventures de l'ancien fonctionnaire et de ses acolytes. Truphénus noyé!... Les trois autres miliciens, en descendant
Ces bourreaux, disons-le de suite, n'étaient pas des soldats de l'armée anglaise, mais des miliciens de Boston qui se vengeaient ainsi, sur une population sans défense, des perpétuelles défaites que leur avaient invariablement infligées les Français.
Bravida et le lieutenant Excourbaniès rangèrent leurs hommes et se mirent en route. Les miliciens avancèrent en bon ordre; mais le terrain montant, recouvert d'une mousse algueuse et glissante, rendait la marche difficile, et les rangs ne tardèrent pas
Dégoûté du commandement, mais non point de la guerre, Bienville vint aussitôt se ranger sous les ordres de M. de Vaudreuil, qui organisait un corps de cent hommes composé de soldats, de volontaires et de miliciens. Le chevalier de Crisasy et Bienville commandaient en second sous M. de Vaudreuil.
Les miliciens portèrent le prince André dans le bois, où se tenaient les voitures de malades et l'ambulance, composée de trois tentes dressées au bord d'un jeune taillis de bouleaux. Les chevaux étaient attelés aux voitures, et mangeaient tranquillement leur avoine; les moineaux becquetaient les grains tombés
De part et d'autre les fusils étaient en joue. Les miquelets, les miliciens et les vassaux de don Ramon ajustaient le petit peloton français, composé de Taillevent, de ses camarades et de Sans-Peur le Corsaire, qui reprit
Ainsi en moins d'une demi-heure, l'on prit deux forts qui auraient pu arrêter une armée entière; car ils étaient armés de 48 canons et mortiers, et défendus par plus de quatre-vingts soldats et huit cents miliciens bien retranchés , mais la porte souterraine par où ceux-ci devaient passer, se trouva si bien fermée qu'on ne put l'enfoncer assez vite. Il restait un troisième fort
Dès la matinée du 11 de nombreux corps de miliciens furent mis en mouvement; mais on savait qu'ils n'avaient point reçu l'ordre de faire feu sur le peuple, en cas de nouvelle émeute. Ce n'est pas, comme on l'a dit, l'absence du gouverneur qui rendait impossible l'emploi des armes
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