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Mis à jour: 28 juin 2025


Michel-Ange seul, par les gigantesques créations de son ciseau, proteste contre cette décadence; mais Michel-Ange n'est qu'un prodige de la nature, il n'est pas une école. Depuis Jean Goujon en France et Canova en Italie, nous sommes

Allons, bonsoir, Michel-Ange, et

Enfin il y avait le toscan, la vieille langue étrusque de Machiavel, de Michel-Ange, de Dante, rugueuse, nerveuse, un peu sauvage, un peu latine, brève, forte, concentrant en peu de mots un grand sens, telle que Dante l'a chantée, telle que Machiavel l'a écrite, langue faite pour des héros, des poëtes, des philosophes, et qui ne s'entend bien qu'

Tous les penseurs, sans chercher Qui finit ou qui commence, Sculptent le même rocher: Ce rocher, c'est l'art immense. Michel-Ange, grand vieillard, En larges blocs qu'il nous jette, Le fait jaillir au hasard; Benvenuto nous l'émiette. Et, devant l'art infini, Dont jamais la loi ne change, La miette de Cellini Vaut le bloc de Michel-Ange.

Michel-Ange étant mort

Ainsi, répondant au tableau de Léonard, Michel-Ange représenta la guerre, non pas comme «la plus féroce des sottises», mais comme une mâle action héroïque, l'accomplissement de l'éternel devoir; la lutte des héros pour la gloire et la grandeur de la patrie.

Sous les arceaux muets de la grotte profonde, les songes légers mènent sans bruit leur ronde, Reçois bénignement mon encens et mes voeux, Sommeil, dieu triste et doux, consolateur du monde! Quand Michel-Ange eut peint la chapelle Sixtine, Et que de l'échafaud, sublime et radieux, Il fut redescendu dans la cité latine,

Tudieu! comme il vous décharne! Auprès de lui Michel-Ange ne serait qu'un écolier. Accordé... cria-t-on tout d'une voix. Le choléra peu coloriste... mais crâne dessinateur! Du reste, messieurs, reprit Nini-Moulin avec une gravité comique, il y a dans ce fléau une polissonne de leçon providentielle... comme dirait le grand Bossuet... La leçon! la leçon!

J'étais trop faible pour travailler, et puis ces journées de juillet m'avaient laissé dans la tête je ne sais quelle fièvre. Il me semblait que la colère et le désespoir pouvaient faire de moi un artiste; je rêvais des tableaux effrayants; je barbouillais les murs de figures que je m'imaginais dignes de Michel-Ange. Je lisais les Iambes de Barbier, et je les façonnais dans ma tête en images vivantes. Je rêvais, j'étais oisif, je mourais de faim, et ne m'en apercevais pas. Cela ne pouvait pas durer bien longtemps, mais cela dura quelques jours avec tant de force, que je n'avais souci de rien autour de moi. Il me semblait que j'étais contenu tout entier dans ma tête, que je n'avais plus ni jambes, ni bras, ni estomac, ni mémoire, ni conscience, ni parents, ni amis. J'allais devant moi par les rues, sans savoir je voulais aller. J'étais toujours ramené, sans savoir comment, au tour des tombes de Juillet. Je ne savais pas si mon pauvre frère était enterré l

La peinture était belle. César et Lucrèce Borgia sont les contemporains de Raphaël et de Michel-Ange, et ce portrait, un peu sèchement étudié, était dans la première manière de Raphaël. Il appartenait

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