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Mis à jour: 3 juin 2025
»Je lui demandai ensuite si elle avait vu les pierreries que le marquis m'avait envoyées; je les porterai, lui dis-je, pour en payer la rançon de Mendez. Nous résolûmes de profiter de tous les moments, parce qu'il n'y en avait aucun
Le vénérable grand-amiral ouvrit la conversation en ces termes: «Diego Mendez, mon fils, de tous ceux qui sont ici, vous et moi nous connaissons le mieux le péril où nous nous trouvons: nous sommes en très-petit nombre, et ces sauvages insulaires sont au contraire très-nombreux; d'ailleurs, leur caractère est irritable et changeant;
»J'entrai dans leur cabinet si émue, que je ne me connaissais pas moi-même. Un de ces bons pères, vénérable par son âge et par son habit, me dit plusieurs choses sur la résignation que nous devons aux ordres de Dieu, sur sa providence dans tout ce qui nous regarde, et la fin de son discours fut que Mendez avait été pris par les Algériens, qu'il était esclave, et que par malheur ces corsaires avaient su qu'il était fils d'un riche marchand, ce qui avait été cause qu'ils l'avaient mis
M. Mendez souriait tristement, m'accusait d'être une mauvaise tête, allait
»Mendez vint m'en apprendre la nouvelle avec des transports qui auraient semblé ridicules
Huit longs mois s'étaient écoulés depuis le départ de Mendez et de Fiesco; aucune nouvelle n'en avait été reçue; l'espoir abandonnait les plus confiants d'entre les marins qui se considérant comme voués
Et on court aussi le risque d'y mourir de faim, ajouta sir Olliver, qui n'avait encore fait que deux repas depuis le matin. Complétez l'image par ce détail: on y écoute des histoires saugrenues, et on y rêve des histoires merveilleuses, repartit Stanislas. Vous êtes modeste, monsieur, dit la señora Mendez. Nous verrons
Et moi je n'en doute pas, interrompit la señora Mendez: la passion vraie purifie tout. Pour ma part, insinua sir Olliver, je ne crois pas
Ovando parut être fort affligé de la situation fâcheuse du grand-amiral; il promit de lui envoyer des secours, mais ce fut en vain que Mendez sollicita pendant sept mois pour qu'il tînt sa parole; il ne voulut même pas permettre
Il s'appelait Pedro de Mendez. C'était un homme très généreux et très poli. Il me pria d'abord de lui dire qui j'étais, et ensuite me demanda ce que je voulais boire et manger. Il m'assura que je serais traité comme lui-même, et me dit enfin des choses si obligeantes, que j'étais tout étonné de trouver tant de bonté dans un yahou. J'avais néanmoins un air sombre, morne et fâché, et je ne répondis autre chose
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