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Mis à jour: 12 juin 2025


Mendelssohn ne borna pas ses attentions

Le lendemain, je lui envoyai mon lourd morceau de bois de chêne avec la lettre suivante, que le dernier des Mohicans, je l'espère, n'eût pas désavouée: «Au chef Mendelssohn

Telles sont les raisons, sans doute, pour lesquelles le nombre des symphonies nouvelles va toujours diminuant. Haydn en écrivit plus de cent, Mozart en laissa dix-sept, Beethoven neuf, Mendelssohn trois, Schubert une. M. Reber a eu un peu plus de courage que ces derniers; il en a écrit quatre, que l'honorable éditeur Richaut vient de publier en grande partition. Ce sont des symphonies dans la forme classique adoptée par Haydn et par Mozart; chacune se compose de quatre morceaux, un allegro, un adagio, un scherzo ou un menuet, et un final d'un mouvement vif. Il faut signaler cependant la diversité de caractère des troisièmes morceaux de ces quatre symphonies. Celui de la première (en mineur) est un scherzo

C'est le deuxième quatuor en la mineur, Op. 13 de Mendelssohn, dont le royal auditoire éprouve un plaisir infini.

En attendant, les Milliardais vivent dans la pensée que rien ne saurait compromettre une existence tout est si logiquement prévu, si sagement organisé. Le quatuor obtient toujours les mêmes succès. On ne se fatigue ni de l'entendre ni de l'applaudir. L'oeuvre de Mozart, de Beethoven, d'Haydn, de Mendelssohn, y passera en entier. Sans parler des concerts réguliers du casino, Mrs Coverley donne des soirées musicales, qui sont très suivies. Le roi et la reine de Malécarlie les ont plusieurs fois honorées de leur présence. Si les Tankerdon n'ont pas encore rendu visite

En 1785, deux écrivains hébreux de Breslau, Isaac Eichel et B. Landau, entreprennent, sous les auspices de Mendelssohn et de Wessely, la publication d'un recueil périodique intitulé Hameassef (le Collecteur), d'où le nom de Meassfim donné

J'ai trouvé Mendelssohn; Monfort le connaissait déj

Je ne crois pas. Vous me priez de vous dire si le sentiment musical des grosses têtes de Leipzig est bon, ou tout au moins porté vers ce que vous et moi nous appelons le beau? Je ne veux pas. S'il est vrai que l'acte de foi de tout ce qui prétend aimer l'art élevé et sérieux soit celui-ci: «Il n'y pas d'autre Dieu que Bach, et Mendelssohn est son prophèteJe ne dois pas.

La société des concerts d'abonnement dont il m'avait parlé est fort nombreuse et on ne peut mieux composée; elle possède une magnifique académie de chant, un orchestre excellent et une salle, celle de Gewanthause, d'une sonorité parfaite. C'était dans ce vaste et beau local que je devais donner mon concert. J'allai le visiter en descendant de voiture; et je tombai précisément au milieu de la répétition générale de l'œuvre nouvelle de Mendelssohn (Valpurgis Nacht). Je fus réellement émerveillé de prime abord du beau timbre des voix, de l'intelligence des chanteurs, de la précision et de la verve de l'orchestre, et surtout de la splendeur de la composition. J'incline fort

Quoi qu'il en soit, et mon parti une fois pris sur ces inconvénients, les répétitions commencèrent. La disposition de l'orchestre dans cette belle salle est si excellente, les rapports de chaque exécutant avec le chef sont si aisés, et les artistes, musiciens parfaits d'ailleurs, ont été accoutumés par Mendelssohn et David

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