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À la pâle lueur d'une chandelle placée sur le petit poêle de fonte alors froid comme le marbre, car la provision de bois est depuis longtemps épuisée, on voit la Mayeux, assise et sommeillant sur une chaise, la tête penchée sur sa poitrine; ses mains cachées sous son tablier d'indienne et ses talons appuyés sur le dernier barreau de la chaise; de temps

Cette explication fort plausible des offres magnifiques de Florine devait satisfaire la Mayeux, puisque après tout il s'agissait d'une oeuvre de bienfaisance. Ainsi, je comprends le taux élevé du salaire dont vous me parlez, mademoiselle, reprit la Mayeux; seulement je n'ai aucune recommandation pour être protégée par les personnes charitables qui dirigent cet établissement.

Peut-être, se disait la Mayeux, vaincue par l'influence que l'adorable bonté de ma protectrice exerce sur moi, je lui aurais fait un aveu que je n'aurais fait

Laissez-moi réfléchir... je crois deviner... oui... et toi, ma bonne Mayeux, tu m'as dit que Mlle de Cardoville n'était pas folle... Non... on la retient malgré elle... dans cette maison, sans la laisser communiquer avec personne... elle a ajouté qu'elle se croyait, ainsi que les filles du maréchal Simon, victime d'une odieuse machination.

La Mayeux, vêtue de haillons, était assise au bord de la paillasse, ses coudes sur ses genoux, son visage caché entre ses mains fluettes et blanches.

D'abord la Mayeux ne comprenait pas qu'une femme qui passait pour folle s'exprimât comme s'exprimait Adrienne; puis elle s'étonnait elle-même de la liberté ou plutôt de l'aménité d'esprit avec laquelle elle venait de répondre

Puis elle murmura quelques autres paroles inintelligibles; ses mouvements convulsifs cessèrent, et ses bras, qui enlaçaient Céphyse, retombèrent inertes sur la paillasse. Ma soeur!... s'écria Céphyse effrayée, en soulevant la tête de la Mayeux entre ses deux mains pour la regarder, toi... déj

Tu me flattes, Agricol. Non, non... c'est Angèle que je flatte... car elle s'appelle ainsi... Quel joli nom... n'est-ce pas, ma bonne Mayeux? C'est un nom charmant... dit la pauvre fille en comparant avec une douleur amère le contraste de ce gracieux nom avec le sobriquet de la Mayeux, que le brave Agricol lui donnait sans y songer.

Mais, maintenant que vous savez le secret de ma vie, dit la Mayeux en baissant les yeux et ne pouvant vaincre sa confusion, il me semble que je ne pourrai plus vous regarder sans rougir.