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Mais la lutte fut la plus vive, madame de Châteauroux s'acharna, ce fut autour de Maurepas. Madame de Châteauroux tenait absolument

La duchesse était donc couchée le mercredi soir, avec un peu de fièvre, quand Maurepas lui avait fait sa visite . La fièvre augmentait pendant la nuit, elle devenait plus violente dans la nuit du jeudi au vendredi, et le vendredi soir elle se compliquait d'élancements de tête insupportables. Vernage, aussitôt qu'il était appelé, déclarait que: «c'était une grande maladieparlait au duc de Luynes et

Cette complaisance assidue, qui est l'adulation de tous les momens, et qui, surtout pour la vieillesse et dans l'adversité, a tant de douceur et d'empire, l'avoit soumis et captivé comme auroit fait l'amour. Il s'étoit fait une habitude d'aimer ou de haïr tout ce qu'aimoit ou haïssoit la compagne de sa disgrâce; et Sartine étoit l'un des hommes qu'affectionnoit le plus la comtesse de Maurepas.

La présentation se faisait avec un certain appareil: Il y avait huit dames dont cinq assises qui étaient mesdames de Lauraguais, de Châteauroux, la maréchale de Duras, les duchesses d'Aiguillon et d'Agénois. Les trois femmes debout étaient madame de Rubempré, madame de Flavacourt et madame de Maurepas qui enrageait. Sortie du cabinet du Roi, la nouvelle duchesse allait prendre son tabouret chez la Reine qui lui disait: «Madame, je vous fais compliment sur la grâce que le Roi vous a accordéeEt s'asseyant, Marie Leczinska faisait asseoir

Mais son indisposition augmenta tellement qu'il dut sortir de table et qu'il appela son fils pour l'accompagner. Monsieur de Maurepas avait passé les dix années de son exil dans sa terre de Châteauneuf, en Berry. Lorsqu'il s'en éloigna, il y laissa comme concierge un de ses valets de chambre; celui-ci, venu par hasard

C'est au théâtre que le duc d'Orléans alla chercher ses premières maîtresses. «La Grandval, comédienne, disent les Mémoires de Maurepas, succéda

Le lendemain matin, monsieur de Maurepas le reçut avec une grande bonté, lui apprit que son duc de Modène était un aventurier qui, probablement, avait voulu se débarrasser de lui. Il était, au reste, peu extraordinaire qu'un jeune homme eût partagé une opinion si bien établie dans la colonie; il l'absolvait donc du tort d'avoir quitté sa corvette. Le vaisseau auquel Son Altesse l'avait promu était déj

Cela se fit très-vite, au moment de Fontainebleau, moment trouble des grandes parties, des chasses et des retours de chasse le roi était moins lucide. On arriva le 7. Le roi mollit le 12, permit au Dauphin de venir. Le recevant pourtant il lui inflige encore une petite misère, une épreuve, demande ce qu'il pense de Maurepas.

Il est dans ces ouvrages injuste et léger, très-flatteur, spécialement pour Richelieu. L'homme de Richelieu, Soulavie, est trop décrié. Bavard et mauvais écrivain, ne sachant pas trop bien les affaires générales, il sait très-bien Versailles. Il avait sous la main et Richelieu vivant, et les papiers de Richelieu, les papiers Maurepas, le journal de M. de Luynes.

Que voulez-vous, dit le chevalier, c'est une manière comme une autre, on ne change pas si subitement l'esprit d'une nation. Songez donc que depuis M. de Maurepas, la France s'est gouvernée