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Mis à jour: 1 juin 2025
Abou Djafar el-Khâzin, connu plutôt sous le nom d'Ibn Rouh, fut mathématicien aussi, astronome et un peu philosophe. Il traduisit du syriaque en arabe le commentaire d'Alexandre d'Aphrodise au premier livre de la Physique d'Aristote. Cette traduction fut revue par Yahya fils d'Adi. Ibn Rouh fut l'ami du philosophe mahométan Abou Zéïd el-Balkhi que nous rencontrerons au chapitre suivant.
Moi, qui n'ai gardé de mes anciens succès de mathématicien au lycée qu'une habitude, mais incorrigible, celle de la logique, j'ai trop souvent recueilli ces deux phrases ou d'autres analogues, et j'en ai déduit cette évidente conclusion: dans notre société contemporaine, avoir une femme hors du mariage est un des plus grands honneurs dont puisse s'enorgueillir un homme, et, inversement, appartenir
Les coïncidences, dit-on, peuvent jouer dans les causes d'erreurs de la statistique un si grand rôle, qu'il ne faut conclure que d'après des grands nombres. Mais le médecin n'a que faire de ce qu'on appelle la loi des grands nombres, loi qui, suivant l'expression d'un grand mathématicien, est toujours vraie en général et fausse en particulier. Ce qui veut dire que la loi des grands nombres n'apprend jamais rien pour un cas particulier. Or, ce qu'il faut au médecin, c'est de savoir si son malade guérira, et la recherche du déterminisme scientifique seul peut le conduire
Lorsqu'en juillet 1821 Abel passa l'examen d'étudiant, il était comme mathématicien au courant de l'éducation scientifique de son temps. Mais il était absolument sans ressources. Le père était mort depuis 1820, et la mère n'avait rien
Condorcet, âgé alors de quarante-neuf ans, se retrouvait jeune, en effet, de ces grands événements; il commençait une vie nouvelle, la troisième. Il avait eu celle du mathématicien avec d'Alembert, la vie critique avec Voltaire, et maintenant il s'embarquait sur l'océan de la vie politique. Il avait rêvé le progrès; aujourd'hui il allait le faire, ou du moins s'y dévouer. Toute sa vie avait offert une remarquable alliance entre deux facultés rarement unies, la ferme raison et la foi infinie
À quatre lieues de Beccles, dans une petite ville appelée Bungay, demeurait un ministre anglais, le {p.134} révérend M. Ives, grand helléniste et grand mathématicien. Il avait une femme jeune encore, charmante de figure, d'esprit et de manières, et une fille unique, âgée de quinze ans. Présenté dans cette maison, j'y fus mieux reçu que partout ailleurs. On buvait
Le Russe jeta sur moi un regard scrutateur dont je sentis toute la portée; ce mathématicien devenu diplomate reprit: «Cette forteresse n'a rien de curieux pour un étranger, monsieur. N'importe, tout est curieux dans un pays aussi intéressant que le vôtre. Mais, si le commandant ne nous attend pas, on ne nous laissera pas entrer.
Un Traité de la lumière et des ombres, qui est aujourd'hui dans la bibliothèque Ambrosienne; c'est un volume couvert de velours rouge, que le sieur Mazzenta donna au cardinal Borromée. Léonard y traite son sujet en philosophe, en mathématicien et en peintre; il en parle au Chapitre CCLXXVIII du Traité de la Peinture.
Allons, ce n'est ni un ivrogne ni un fou: c'est un mathématicien qui cherche la solution d'un problème. Ces derniers mots étaient suggérés
Cette puissante République révèle qu'elle émet chaque année 4 milliards et demi de timbres-poste, et un mathématicien (les mathématiques se fourrent partout) constate que ce nombre colossal de timbres collés bout
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