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Mis à jour: 30 juin 2025


Marseille avait-elle besoin d'emprunter la peste au Levant? J'en doute fort. Elle avait d'elle-même toutes les conditions qui la font en

Ces grands cuisiniers, ces illustres collaborateurs, sont Vuillemot, mon ancien hôte de la Cloche et de la Bouteille, qui tient aujourd'hui le restaurant de la place de la Madeleine, l'homme chez lequel on boit le meilleur vin, on mange les huîtres les plus fraîches, et l'on déguste les hollandais les plus fins; enfin Roubion et Jenard de Marseille, les seuls praticiens chez lesquels on mange la véritable bouillabaisse aux trois poissons.

Je savais cela. Vous avez tort tous les deux; Galien, d'avoir proféré sa sentence absurde; vous, d'en faire une autorité. Vous n'existeriez pas, ni vous ni votre éloge ou votre critique de Galien, si la nature n'avait pas eu d'autre secret que le sien pour conserver les enfants des Germains. Pendant la dernière peste de Marseille... Dépêchez-vous, car je suis pressé.

Les Gaulois Tectosages de Tolosa, unis aux Cimbres par une origine commune, les appelaient contre les Romains, dont ils avaient secoué le joug. La marche des Cimbres fut trop lente. Le consul C. Servilius Cépion pénétra dans la ville et la saccagea. L'or et l'argent rapportés jadis par les Tectosages du pillage de Delphes, celui des mines des Pyrénées, celui que la piété des Gaulois clouait dans un temple de la ville, ou jetait dans un lac voisin, avaient fait de Tolosa la plus riche ville des Gaules. Cépion en tira, dit-on, cent dix mille livres pesant d'or et quinze cent mille d'argent. Il dirigea ce trésor sur Marseille, et le fit enlever sur la route par des gens

A Marseille, les amateurs de trivialités, les rimeurs

Proviseur du collège Henri IV Marseille, 20 décembre 1833 Mon cher enfant, Je suis arrivée ici sans trop de fatigue et j'en repars après-demain. Je vais

Sa capitulation et son départ entraînèrent bientôt la soumission de Marseille; et grâce

Le roy Childebert envoia Gillon l'archevesque de Rains et aucuns des princes de son règne en mesage au roy Chilperic son oncle, pour confermer pais et aliances. L'archevesque commença la parole et dist ainsi: «Chilperic noble roy, nostre sire le roy Childebert ton neveu te requiert que la pais et l'aliance qui entre vous deux fu pieça establie, soit du tout en tout confirmée. Il ne puet avoir l'amour ni la bonne volenté le roy Gontran ton frère, pour ce qu'il demande la moitié de Marseille qu'il retient sans raison, ni rendre ne lui veult les fugitifs de son roiaume: si vous vouliez donques estre d'un accord et d'une volente, et joindre vos deux forces ensemble, assez tost pourriez prendre vengeance des tors qu'il vous faitLors respondi le roy et dit ainsi: «La colpe et le meffait de mon frère est si apert qu'il ne puet pas légièrement estre celé: et si mon doux neveu recensoit bien et diligemment en son cuer comment les choses sont allées, il trouveroit que son père fu occis par la tricherie et par la desloiauté de lui. Pour laquelle chose je lui promets aide et secours en toutes manières, et moi et mes compagnons, de aidier de vengier la mort son père, de laquelle je suis moult dolent. Car j'ai perdu mon frère et mon ami, qui moult m'amast, s'il fust en vieAprès ces paroles ils confermèrent les aliances et donnèrent ostages d'une part et d'autre: puis partirent

En 1675, l'évêque de Marseille intervient en faveur de forçats dont on avait arbitrairement doublé ou triplé le temps de galères. Huit ayant été condamnés, de 1652

Que se passait-il au dehors? Le tocsin sonnait dans tout Paris. Les faubourgs descendirent lentement. Au petit jour, on battit la générale. L'armée de l'insurrection s'ébranla. L'avant-garde se composait de cinq cents fédérés marseillais [Note: L'attitude de ces Marseillais, d'après le témoignage de tous les contemporains, était vraiment admirable. La République, formée depuis longtemps dans le coeur des Phocéens par l'exercice des libertés municipales, jaillit, pour ainsi dire, en bloc sous l'influence de la Révolution. «On distinguait, raconte Robespierre dans son journal, l'immortel bataillon de Marseille, célèbre par ses victoires remportées dans le Midi. Cette légion également imposante par le nombre, par la diversité infinie des armes, et surtout par le sentiment sublime de la liberté qui respirait sur leurs visages, présentait un spectacle qu'aucune langue ne peut rendre.» O Marseille, Marseille, si Paris est la tête de la France, tu en es le coeur!] et de trois cents fédérés bretons. Derrière eux venait une masse armée de piques et de fusils. Des hommes de toutes classes, ouvriers et bourgeois, marchaient

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