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Mis à jour: 9 juin 2025
Marchez droit,
«... Vous devez prendre dans votre énergie toutes les mesures commandées par le salut de la patrie. Continuez votre attitude révolutionnaire; l'amnistie prononcée lors de la Constitution captieuse et invoquée par tous les scélérats est un crime qui ne peut en couvrir d'autres. Les forfaits ne se rachètent point contre une République, ils s'expient sous le glaive. Le tyran l'invoqua, le tyran fut frappé.... Secouez sur les traîtres le flambeau et le glaive. Marchez toujours, citoyen collègue, sur la ligne révolutionnaire que vous suivez avec courage. Le comité applaudit
O pèlerins, qui marchez en pensant Peut-être
Mais si, c'est ma bonne tante. Tiens, mais c'est vrai, je suis fou, je l'avais su autrefois, je n'y avais jamais songé; mon Dieu, vos amis doivent s'impatienter, parlons vite, ils nous regardent, ou bien une autre fois, cela n'a aucune importance. Mais si, marchez toujours, ils sont l
Le pavé de lave basaltique sur lequel vous marchez est, en beaucoup d'endroits, la voie basaltique même, et les roues des voitures s'enfoncent dans les mêmes rainures qui furent creusées par le passage des chars. A droite et
Il est vrai, mon père, répondit Gabriel avec une douloureuse amertume; lorsque, épuisé, brisé par trois mois de solitude et d'épreuves, j'étais anéanti...; incapable de faire un mouvement, vous avez ouvert la porte de ma cellule... en me disant: «Si vous le voulez, levez-vous... marchez... vous êtes libre...» Hélas! les forces me manquaient; le seul désir de mon âme inerte, et depuis si longtemps paralysée, c'était le repos du sépulcre... aussi je prononçai des voeux irrévocables, et je retombai entre vos mains, comme un cadavre...
Les jours sont engloutis par les prompts lendemains; Toute joie entre une heure et s'éloigne et s'exile, Vous qui marchez, serrant votre bonheur stérile, Déj
Le fléau qui bat le grain se bat lui-même, dit Gorenflot. Oh! magnifique! oh! sublime! s'écria le prieur. Et les assistants, partageant de confiance l'enthousiasme de messire Joseph Foulon, répétèrent d'après lui: «Magnifique! sublime!» Et maintenant, mon père, suis-je libre, demanda Gorenflot avec humilité. Oui, mon fils, s'écria le révérend abbé, allez et marchez dans la voie du Seigneur.
Vous qui n'y êtes pas encore arrivé, enfant, ne marchez pas trop vite. Ne franchissez pas légèrement ces cimes sublimes d'où l'on descend pour n'y plus remonter. Ah! votre sort est plus beau que le mien. Jouissez-en, ne le dédaignez pas. Homme, vous avez encore dans les mains le trésor de vos belles années; artiste, vous servez une muse plus féconde et plus charmante que la mienne. Vous êtes son bien-aimé, tandis que la mienne commence
Ces hommes prononçaient le refrain: Conscrits au pas; ne pleurez pas... Marchez au pas, au pas, d'un ton si mâle et si pathétique que les larmes me sont venues aux yeux. En marquant eux-mêmes le pas et en dévidant leur chanvre, ils avaient l'air de filer le dernier moment du vieux caporal: je ne saurais dire ce qu'il y avait dans cette gloire particulière
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