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Mis à jour: 12 juin 2025


Je ne m'étais pas mépris sur l'expression de son visage; nous n'avions pas fait vingt pas qu'il me dit, sans lever les yeux sur moi: «Maître David, vous l'avez vue? Seulement un instant, pendant qu'elle était évanouie, répondis- je doucementNous marchâmes un instant en silence, puis il me dit: «Est-ce que vous la reverrez, monsieur David? Cela lui serait peut-être trop pénible.

» Nous marchâmes longtemps. Les petits sauvages m'apprirent quelques mots de leur langage, que je parlai en peu de temps aussi bien qu'eux-mêmes. Il n'était pas très difficile, mais il leur manque une foule de mots; nous leur apprîmes

Nous marchâmes toute la nuit; et, au point du jour, nous arrivâmes au village d'lcheraouïa, qui existait alors sur le plateau du Souk-et-Arba. En chemin nous nous étions réunis d'abord aux contingents de notre tribu, puis

Nous marchâmes tous ensemble, poursuivit Sindbad, jusqu'

Nous marchâmes longtemps sans qu'il ouvrît la bouche; enfin, il parla. Il ne pleurait pas; quand il s'arrêtait aux endroits le lecteur verra des points, il se recueillait seulement pour s'expliquer plus clairement: «Je l'aimais trop... et sa mémoire... m'est, trop chère... pour que je puisse chercher

En approchant du Monte Serrato, nous marchâmes quelques minutes sur un sol d'amiante, et je le fis observer

Nous marchâmes sur Vicence, jolie ville; mais les Autrichiens filaient sur Padoue

Nous nous dirigeâmes vers Kous, étaient les Mekkains, et d'où ils faisaient des incursions dans les villages de l'une et l'autre rive, volant et massacrant les chrétiens et les Copthes, et les emmenant, afin de leur faire payer une rançon. Nous sortîmes de Kéné dans le silence et les ténèbres de la nuit pour tâcher de les surprendre: nous marchâmes le long du désert pour tromper leurs avant postes. Lorsque nous arrivâmes au village était leur camp, nous ne les trouvâmes plus; ils en étaient partis

Nous quittâmes la route du col de Farka et nous marchâmes vers le centre du Fouogara, province basse, chaude, régnent des fièvres pernicieuses, et le lendemain, vers deux heures de l'après-midi, nous aperçûmes le camp du Dedjadj Guoscho, établi dans une localité nommée Wanzagué, remarquable par des sources chaudes, des malades viennent se baigner pendant l'été seulement, car au printemps et en automne, les fièvres rendent l'endroit inhabitable.

C'était une de ces journées d'hiver le soleil semble éclairer tristement la campagne grisâtre, comme s'il regardait en pitié la terre qu'il a cessé de réchauffer. Ellénore me proposa de sortir. «Il fait bien froid, lui dis-je. N'importe, je voudrais me promener avec vous». Elle prit mon bras; nous marchâmes longtemps sans rien dire; elle avançait avec peine, et se penchait sur moi presque tout entière. «Arrêtons-nous un instant. Non, me répondit-elle, j'ai du plaisir

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