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Mis à jour: 14 juin 2025
Pendant le mois qui suivit, je dévorai la plupart des ouvrages de Walter Scott. Certes, depuis ce temps, j'ai eu des joies profondes et sérieuses, mais, quelque grandes qu'elles aient été, je ne sais si elles ont surpassé de beaucoup en vivacité celles que j'éprouvais pendant que mon esprit sortait de son brouillard comme un papillon de sa chrysalide. Je marchais de ravissement en ravissement, d'extase en extase. J'oubliais tout pour ne songer qu'
Comme je marchais
Je marchais dessus, je tâchais même de le casser. On l
Je marchais
Le coeur plein de toutes les émotions que j'avais éprouvées, je marchais en silence, et en me retraçant le dévouement héroïque avec lequel Frédéric s'était presque exposé
Ah! mais non, par exemple! Pas de ça! On nous a donné un cabot pour nous conduire et je veux mon cabot. Un cabot comme ça, qui m'a menacé de me ficher dedans parce que je marchais trop vite! Il n'y a pas de danger que je le lâche!
Pendant que je marchais
Ainsi pensais-je, découragé de l'amour par un amour plus grand et plus vrai que tous les autres, et je marchais silencieux comme un prêtre parmi les ruines d'un temple écroulé, me meurtrissant dans la nuit
Je vais finir en vous proposant, moi aussi, une loi, en vous suppliant d'avoir la foi au Travail. Travaillez, jeunes gens. Je sais tout ce qu'un tel conseil semble avoir de banal. Il n'est pas de distributions de prix où il ne tombe parmi l'indifférence des élèves, mais je vous demande d'y réfléchir, et je me permets, moi qui n'ai été qu'un travailleur, de vous dire tout le bienfait que j'ai retiré de la longue besogne dont l'effort remplit ma vie entière. J'ai eu de rudes débuts; j'ai connu la misère et la désespérance. Plus tard j'ai vécu dans la lutte; j'y vis encore, discuté, nié, abreuvé d'outrages. Eh bien! je n'ai eu qu'une foi et qu'une force, le travail. Ce qui m'a soutenu, c'est l'immense labeur que je m'étais imposé. En face de moi, j'avais toujours le but vers lequel je marchais, et cela suffisait
La mer, comme il arrive souvent, avait inondé, la veille, les maigres pâturages semés de canelets, qui entourent ces tertres, entre les digues, de sorte que je marchais au milieu de l'eau et que les maisons sortaient réellement de l'eau, sans aucun horizon de terre.
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