Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 21 mai 2025
Son attention fut attiré bientôt sur l'un des plus hardis mangeurs que venait, avec une évidente satisfaction, de renvoyer son écuelle au distributeur pour la troisième fois. Un murmure approbateur des convives avait accueilli cette demande et l'héroïque mangeur souriait béatement sous les regards d'admiration qui tombaient sur lui de toutes parts.
Que veut dire cette fin énigmatique? Qu'est-ce que cette révolution future? S'agit-il de l'avènement pacifique des déshérités ou de la destruction du vieux monde? Est-ce le règne de la justice ou la curée tardive des plus nombreux? Mystère! ou simplement rhétorique! Car tout le reste du roman ne contient pas un atome d'espoir ou d'illusion. Je reconnais d'ailleurs la haute impartialité de M. Zola: les gros mangeurs, on ne les voit pas, et ils ne voient pas. Nous n'apercevons que les Grégoire, de petits actionnaires, de bonnes gens
"Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière.
Remercions ces excellents Todas d'avoir érigé devant nos yeux l'image d'un «Dieu qui fraye avec les hommes et marche devant leur face». Ce Dieu, ils l'ont fait berger, étant bergers eux-mêmes. D'autres dieux on n'en manquait pas: des méchants et terribles, des mangeurs d'hommes et buveurs de sang; des massacreurs et exterminateurs. Même quelques-uns avaient travaillé
Bon, bon, disait derrière la porte la voix calme d'Athos, qu'on les laisse un peu entrer, ces mangeurs de petits enfants, et nous allons voir.» Tout braves qu'ils paraissaient être, les deux gentilshommes anglais se regardèrent en hésitant; on eût dit qu'il y avait dans cette cave un de ces ogres faméliques, gigantesques héros des légendes populaires, et dont nul ne force impunément la caverne.
De même que des loups mangeurs de chair crue et pleins d'une grande force qui, dévorant un grand cerf rameux qu'ils ont tué sur les montagnes, vont en troupe, la gueule rouge de sang et vomissant le sang, laper de leurs langues légères les eaux de la source noire, tandis que leur ventre s'enfle et que leur coeur est toujours intrépide; de même les chefs des Myrmidones se pressaient autour du brave compagnon du rapide Aiakide.
«Allons donc, mon cher, le «Tugendbund» est bon pour les mangeurs de saucisses; quant
Espérance regardait de loin, en souriant, ce festin et ces intrépides mangeurs; il admirait aussi le roi de la fête, Pontis, dont la physionomie radieuse éclairait joyeusement tout le groupe, lorsque soudain on entendit comme un cri lointain. Ce cri fit dresser l'oreille
Mais attention !... Déployons nous en tirailleurs !... Ces mangeurs de choucroute pourraient bien s'être tapis derrière les buissons ! >> Octave et Marcel se séparèrent, et, prenant chacun l'un des côtés de l'allée qui s'ouvrait devant eux ils avancèrent avec prudence, d'arbre en arbre, d'obstacle en obstacle, selon les principes de la stratégie individuelle la plus élémentaire.
Les Guanches (c'est le nom que les Espagnols leur ont donné) étaient une nation robuste et de haute taille, mais maigre et basanée: la plupart avaient le nez plat; ils étaient vifs, agiles, hardis et naturellement guerriers; ils parlaient peu, mais fort vite; ils étaient si grands mangeurs, qu'un seul homme mangeait quelquefois dans un seul repas vingt lapins et un chevreau. Suivant la relation du docteur Sprat, il reste encore dans l'île de Ténériffe quelques descendans de cette ancienne race qui ne vivent que d'orge pilé, dont ils composent une pâte avec du lait et du miel; on leur en trouve toujours des provisions suspendues dans des peaux de boucs, au-dessus de leurs fours. Ils ne boivent pas de vin, et la chair des animaux n'est pas une nourriture qui les tente. Ils sont si agiles et si légers, qu'ils descendent du haut des montagnes en sautant de rocher en rocher. Ils se servent d'une sorte de pique longue de neuf ou dix pieds, sur laquelle ils s'appuient pour s'élancer ou pour glisser d'un lieu
Mot du Jour
D'autres à la Recherche