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Mis à jour: 16 mai 2025
Avant le jour, je m'éveillai. Je mangeai encore un peu, après m'être lavé les pieds dans un ruisselet qui avait l'eau bien claire. Je m'assurai que je n'avais aucune blessure bien que je fisse route sans bas ni souliers, et que je pouvais bien, quoique lasse, fournir ma seconde étape; alors, je priai Dieu de m'assister et me remis en chemin.
Cette vue me rendit le courage; je mangeai cinq
A partir de ce moment, je ne ressentis plus aucune douleur, mais une faim dévorante. Je bus aussitôt une tasse de lait qui passa très bien, puis, jusqu'au soir, j'en bus un litre et j'avais encore faim. Le lendemain, au déjeuner, on me servit comme la communauté: je mangeai de l'omelette, des pois, de la salade... Enfin, je me trouve aujourd'hui dans un état de santé des meilleurs.
Je passai une première nuit dans une grange, et ne mangeai point. La femme du paysan, propriétaire de la grange, refusa le loyer de ma couchée; elle m'apporta, au lever du jour, une grande écuelle de café au lait avec de la miche noire que je trouvai excellente. Je me remis en route tout gaillard, bien que je tombasse souvent.
Je mangeai les haricots
Je m'assis sur la mousse d'une roche isolée, et j'y mangeai le morceau de pain bis que j'avais acheté au chalet; après quoi, l'ombre des grands sapins s'allongeant d'elle-même obliquement sur moi, et la clochette des troupeaux invisibles perdus sous la ramée berçant ma rêverie, je me laissai aller quelques instants au sommeil.
Le garçon me fit manger ou plutôt me servit ce qu'il voulut, car je ne mangeai pas. Malgré moi, mes yeux se fixaient toujours sur la pendule. Je rentrai, convaincu que j'allais trouver une lettre de Marguerite. Le portier n'avait rien reçu. J'espérais encore dans mon domestique. Celui-ci n'avait vu personne depuis mon départ.
Je mangeai la moitié d'un biscuit, j'avalai un peu d'eau, car la soif était revenue; puis ayant rebouché la futaille, je m'assis
On nous servit ensuite du riz préparé avec de l'huile de coco; et mes camarades, qui n'avaient plus de raison, en mangèrent extraordinairement. J'en mangeai aussi, mais fort peu. Les noirs avaient d'abord présenté de cette herbe pour nous troubler l'esprit, et nous ôter par l
Lors du mirifique festin que me firent faire mes deux moines geôliers, je mangeai et bus assez sobrement, ainsi que le commandait la prudence, vu l'état de délabrement dans lequel m'avaient mis cinq longs jours de jeûne.
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