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Mis à jour: 3 juillet 2025
Tout le monde se mit en route; les mamans marchaient vite, vite; les petites filles couraient plutôt qu'elles ne marchaient, tant elles étaient impatientes d'arriver; aucune d'elles ne parlait, leur coeur battait
J'aime mieux rester avec maman... et avec vous, ajouta-t-elle en baisant la main de Camille et de Madeleine. Camille et Madeleine embrassèrent la petite Marguerite. MARGUERITE. Comment vous appelle-t-on? CAMILLE. Moi, je m'appelle Camille, et ma soeur s'appelle Madeleine. MARGUERITE. Eh bien! vous serez mes petites mamans. Maman Camille et maman Madeleine.
Les ribambelles d'enfants, aussitôt en presse devant la boutique, n'avaient pas assez de clarté bleue dans les yeux, pas assez de flammes roses sur les lèvres pour arborer l'extase, tandis que l'entourage des mamans élégantes et des vagues institutrices ne pouvait se défendre d'un murmure ravi.
«Je viens de barbouiller (je ne dis pas écrire) une feuille de papier double, et j'attends en réponse un énorme budget. Sans doute les dames de Southwell condamnent l'exemple dangereux que j'ai donné; elles tremblent que leurs bambins ne leur obéissent plus et ne quittent au moindre dépit leurs tendres mamans. Adieu. Quand vous commencerez vos lettres, rayez, s'il vous plaît, la seigneurie, et mettez
Quand tout le monde fut descendu d'âne, et qu'on nous eut laissés paître, la bride sur le cou, les papas et les mamans prirent leurs enfants par la main, leur défendant de s'écarter et de rester en arrière; je les regardais avec inquiétude s'éloigner et se perdre dans ces ruines. Je m'éloignai aussi de mes camarades et je me mis
Elles coururent rejoindre leurs mamans; elles arrivèrent toutes haletantes, et, pendant que Camille et Madeleine racontaient ce que leur avait dit la petite fille, Sophie et Marguerite couraient lui porter le panier qui renfermait les provisions; elles virent bientôt arriver Mme de Fleurville et Mme de Rosbourg. La petite fille n'avait pas encore touché au pain ni aux fruits.
«Bonjour, chères dames, s'écria Mme Fichini; bonjour, chères demoiselles; comme c'est aimable d'arriver de bonne heure! les enfants auront le temps de jouer, et nous autres mamans, nous causerons. J'ai une grâce
Vilaine sans coeur, vous avez l'air enchantée de vous en aller; je suis bien sûre que ces demoiselles ne quitteraient pas leur maman sans pleurer. Maman ne voyagerait pas sans moi, certainement, dit Marguerite avec vivacité, ni Mme de Fleurville sans Camille et Madeleine; nous aimons nos mamans parce qu'elles sont d'excellentes mamans; si elles étaient méchantes, nous ne les aimerions pas.»
Elle se voyait perdue maintenant dans cet antre sinistre où reviennent les enfants morts, Kyû-Kukedo-San, près d'Izumo, et où ils cherchent leurs mamans dans les ténèbres, sans jamais les retrouver. Chrétienne, bouddhiste, shintoïste, toutes les croyances se heurtaient dans sa petite cervelle, lorsqu'elle recommença son appel
MARGUERITE. Sophie, je crois que nous sommes trop petites pour nous en aller toutes seules dans la forêt. SOPHIE. Trop petites! Tu as six ans, moi j'en ai huit, et tu trouves que nous ne pouvons pas sortir sans nos mamans ou sans une bonne? Ha! ha! ha! J'allais seule bien plus loin que cela quand j'avais cinq ans. Marguerite hésitait encore.
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