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Mis à jour: 3 mai 2025
Le marchand félicita Mahmoud-Ben-Ahmed de sa bonne fortune, et, l'emmenant tout au fond de sa boutique, il lui dit bien bas
Mahmoud-Ben-Ahmed était fort compatissant de sa nature, comme tous les gens qui ont étudié les lettres et la poésie. Leila, tel était le nom de l'esclave fugitive, s'exprimait en termes choisis; elle était jeune, belle, et n'eût-elle été rien de tout cela, l'humanité eût défendu de la renvoyer. Mahmoud-Ben-Ahmed montra
Lorsqu'elle fut un peu reposée et rassurée, elle s'agenouilla devant Mahmoud-Ben-Ahmed et lui raconta son histoire en fort bons termes: «J'étais esclave dans le sérail du riche Abu-Becker, et j'ai commis la faute de remettre
Puis elle ajusta son voile et sortit de la boutique en laissant tomber avec un accent qui pénétra le coeur de Mahmoud-Ben-Ahmed: «Je viens quelquefois, au retour du bain, acheter des essences et des boites de parfumerie chez Bedredin.»
IL y avait une fois dans la ville du Caire un jeune homme nommé Mahmoud-Ben-Ahmed, qui demeurait sur la place de l'Esbekick.
visiter souvent et ne pouvait s'empêcher de remarquer les grâces et la beauté de Leila, qui égalaient pour le moins celles de la princesse Ayesha, si même elles ne les dépassaient, et s'étonnait de l'aveuglement de Mahmoud-Ben-Ahmed; et s'il n'eût craint de violer les saintes lois de l'amitié, il eût pris volontiers la jeune esclave pour femme. Cependant, sans rien perdre de sa beauté, Leila devenait chaque jour plus pâle; ses grands yeux s'alanguissaient; les rougeurs de l'aurore faisaient place sur ses joues aux pâleurs du clair de lune. Un jour Mahmoud-Ben-Ahmed s'aperçut qu'elle avait pleuré, et lui en demanda la cause: «O mon cher seigneur, je n'oserais jamais vous la dire: moi, pauvre esclave recueillie par pitié, je vous aime; mais que suis-je
«Vraiment, Mahmoud-Ben-Ahmed, vous avez un talent de poète des plus rares, et vos vers méritent d'être affichés
les bracelets et le collier de la sultane favorite, un air agréable et fier, et dans toute sa personne je ne sais quoi de noble et de royal. Mahmoud-Ben-Ahmed, comme ébloui de tant de perfections, resta longtemps immobile
Mahmoud-Ben-Ahmed la prit par la main, la conduisit
Assis sur une pile de carreaux et le corps enveloppé par les circonvolutions élastiques du tuyau de son narguilhé, Mahmoud-Ben-Ahmed tâchait de démêler dans la transparente obscurité la forme lointaine du palais où dormait la belle Ayesha. Un silence profond régnait sur ce tableau qu'on aurait pu croire peint, car aucun souffle, aucun murmure n'y révélaient la présence d'un être vivant: le seul bruit appréciable était celui que faisait la fumée du narguilhé de Mahmoud-Ben-Ahmed en traversant la boule de cristal de roche remplie d'eau destinée
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