Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 4 juin 2025


«Monsieur Doubleface, dit le maharajah, vous connaissez le sort qui vous attend? Je sais, dit l'Anglais, que je suis dans vos mains. Vous connaissez cette écriture? Pourquoi le nier? la lettre est de moi. Vous savez, je suppose, quel est le châtiment des traîtres, des espions et des assassinsL'Anglais ne sourcilla pas.

Naturellement Scindiah était aussi du voyage, ainsi que Garamagrif et Louison, car Rama voulut tout emmener, même son ami Moustache. Après quelques objections, le maharajah se laissa fléchir, et, précédant lui-même de cinq jours le reste de la caravane, il leur donna rendez-vous au camp et partit seul pour prendre le commandement de l'armée. Sougriva fut chargé, comme

L'absence du maharajah fut cette occasion, et Garamagrif, qui craignait par-dessus tout la colère de Corcoran, résolut de satisfaire sa vengeance pendant que le maître et Sifflante, sa bonne cravache, n'étaient pas l

«Console-toi, ma chérie, dit le maharajah, tu le retrouveras dans un monde meilleur. Avant tout, il faut rejoindre l'armée. Cette nuit le salut, et demain la vengeanceTout en galopant, son cheval fit un écart qui faillit le désarçonner. Un objet informe s'élevait dans l'ombre et semblait demander grâce. Corcoran arma son revolver.

Les préparatifs du long voyage que Corcoran allait entreprendre avec son ami Quaterquem durèrent toute la journée. Il ne s'agissait pas, on se l'imagine de reste, d'emballer des vêtements ou des vivres, mais de cacher aux Mahrattes le départ du maharajah. Il fut donc résolu qu'on attendrait la nuit pour partir et que Sougriva seul en serait informé. Corcoran ne voulut pas même faire ses adieux

J'ai assez fait le maharajah; je vais faire maintenant le capitaine Corcoran, et j'espère que tout le monde, amis et ennemis, me reconnaîtraDépart. Quand Sougriva fut parti: «Eh bien, mon cher ami, dit Quaterquem, que s'est-il passé? As-tu quelque nouveau Barclay

A la vue de ces deux auxiliaires nouveaux du maharajah, les cavaliers anglais tournèrent bride en un clin d'oeil et rejoignirent leur régiment qui déj

«Seigneur maharajah, lui dit le fidèle Sougriva, ne nous abandonnez pas aux Anglais. On ne régénère pas un peuple en trois ou quatre ans.

Je reprendrai mes armes et je viendrai combattre dans vos rangs. «Adieu!» A ces mots, l'enthousiasme éclata de toutes parts. On voulut retenir le maharajah; mais sa résolution était prise. Il partit le soir même avec son ami, Quaterquem, qui était venu le chercher avec la Frégate. Louison et Moustache l'accompagnèrent dans son île, qui n'était qu'

«J'y ai bien pensé, répliqua le maharajah après un instant de silence; mais il y a si loin! La traversée, aller et retour, durera au moins quatre mois. Et qui envoyer d'ailleurs?

Mot du Jour

d'expéditions

D'autres à la Recherche