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Mis à jour: 30 avril 2025
Monsieur, la France vient de traverser une épreuve. La France était libre, un homme l'a prise en traître, la nuit, l'a terrassée et garrottée. Si l'on tuait un peuple, cet homme eût tué la France. Il l'a faite assez morte pour pouvoir régner sur elle. Il a commencé son règne, puisque c'est un règne, par le parjure, le guet-apens et le massacre. Il l'a continué par l'oppression, par la tyrannie, par le despotisme, par une inqualifiable parodie de religion et de justice. Il était monstrueux et petit. On lui chantait Te Deum, Magnificat, Salvum fac, Gloria tibi, etc. Qui chantait cela? Interrogez-vous. La loi lui livrait le peuple, l'église lui livrait Dieu. Sous cet homme s'étaient effondrés le droit, l'honneur, la patrie; il avait sous ses pieds le serment, l'équité, la probité, la gloire du drapeau, la dignité des hommes, la liberté des citoyens; la prospérité de cet homme déconcertait la conscience humaine. Cela a duré dix-neuf ans. Pendant ce temps-l
Magnificat anima mea Dominum... Alors, le chef de gare, enfin rassuré, les bras ballants, fit donner le signal. De nouveau, la machine siffla, puis s'ébranla, roula dans l'éclatant soleil, comme dans une gloire. Sur le quai, le père Fourcade était resté, appuyé
Ce sera le Magnificat complet: la prière d'adoration au seul Dieu grand et miséricordieux, la prière d'action de grâce pour ce qui m'a été donné avec tant de largesse de tous côtés, la prière d'expiation plus pour ce que j'ai omis que pour ce que j'ai fait; et puis l'appel suppliant qui ne peut pas ne pas être exaucé, demandant la vie éternelle, la force et la consolation pour ceux que je laisserai, la miséricorde et la gloire pour la France bien-aimée, l'arrivée du règne de Dieu, Adveniat regnum tuum.
Mais on était sorti de la gare, la machine soufflait dans le branle croissant des roues, et soeur Hyacinthe répéta, en tapant dans ses mains: Allons, allons, mes enfants, le Magnificat! Pendant que le chant d'allégresse montait au milieu des secousses, Pierre regardait Sophie.
La paix en est bannie pour long-temps, je pense. Aux vêpres, pendant le Magnificat, tu sais, ma Zoé, que le clerc
De nouveau, vers Paris, en route pour le retour, le train blanc roulait. Et, dans le wagon de troisième classe, où le Magnificat,
Il y eut un grand coup de sifflet, la machine souffla, et soeur Hyacinthe se leva pour dire: Le Magnificat, mes enfants! Comme le train s'ébranlait, la portière se rouvrit, et un employé poussa une fillette de quatorze ans, dans le compartiment où étaient Marie et Pierre. Tenez! il y a une place, dépêchez-vous!
Le 65ème arrive, tel qu'il est, sale, déchiré, mal coiffé, noir, mais l'oeil vif et la jambe alerte, il suit sa musique, le sourire aux lèvres et vient prendre la place qu'on lui avait désignée. On entonne Magnificat; vingt mille voix se mêlent au choeur et tous dans un même élan religieux et patriotique, chantent
A ce moment, les orgues entonnaient une mélodie d'hosanna et de triomphe, une sorte de magnificat agrandi, noyé dans un Veni Creator. Ils étaient sinistres... les voil
Et sa figure ronde n'était pas jolie, mais aimable, très fraîche, éclairée par de clairs yeux futés, qui lui donnaient un air souriant et modeste. Lorsqu'on eut fini le Magnificat, Pierre ne put résister au désir de questionner Sophie. Une enfant de cet âge, d'une apparence si candide, et qui ne semblait pas être une menteuse, cela l'intéressait vivement.
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