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Alors, tout le monde a le droit de m'abattre, dit Coyatier. En voil

Le temps est magnifique. La chaleur s'accroît rapidement, mais elle ne fait encore que m'exciter au lieu de m'abattre. Depuis huit jours, aucun nuage n'a paru sur tout l'horizon. Le ciel est de ce bleu ardent et stérile qui fait penser aux longues sécheresses. Le vent, fixé

Et en effet j'avais admirablement supporté ce spectacle, si terrible qu'il fût; il m'avait exaltée au lieu de m'abattre. Je me disais: Si j'apprenais la mort de mon bien-aimé, moi aussi j'achèterais un couteau, j'irais chez Robespierre, je le tuerais, et je mourrais comme vient de mourir Charlotte.

Mon vieux Jean, tu es le simple et le solide... Va, va! prends la pioche, prends la truelle! et retourne le champ, et rebâtis la maison!... Moi, tu as bien fait de m'abattre, puisque j'étais l'ulcère collé

Un sourire amer contracta les lèvres d'Elwig; elle reprit: Mon frère a failli m'abattre le bras d'un coup de hache parce que j'ai voulu toucher

Enfin il ajouta: «Vous craignez, la guerre pour mes jours? C'est ainsi qu'au temps des conspirations on voulait m'effrayer de Georges: il se trouvait par-tout sur mes pas; ce misérable devait tirer sur moi. Eh bien! il aurait tué mon aide-de-camp tout au plus; mais me tuer, moi, c'était impossible! avais-je donc accompli les volontés du destin? Je me sens poussé vers un but que je ne connais pas: quand je l'aurai atteint, dès que je n'y serai plus utile, alors un atome suffira pour m'abattre; mais jusque-l

Bien des gens lui venaient en aide, et il ne se faisait pas faute de se rappeler au souvenir de ceux qui pouvaient pour lui quelque chose, par de burlesques requêtes auxquelles il était bien difficile de ne pas faire droit. Je suis, depuis quatre ans, atteint d'un mal hideux Qui tâche de m'abattre; J'en pleure comme un veau, bien souvent comme deux, Quelquefois comme quatre.

«Une telle secousse me courut dans les membres que je faillis m'abattre

Au milieu des décombres tu t'es élevé un autel et un temple plus divinement désolé, parmi de plus riches offrandes je viens mêler les miennes, ruines d'années, quoique peu nombreuses, cependant pleines des débris du destin: si tu m'as jamais vu trop orgueilleux, n'écoute point mes vœux; mais si j'ai été humble aux jours de la prospérité; si j'ai réservé ma fierté contre la haine, qui n'a jamais pu m'abattre, fais que je n'aie pas porté en vain ses traits dans mon ame; ne verseront-ils donc pas de larmes?

Et, moi, l'aigle lointain, épouvanté, j'arrive. Et je crie, et je viens m'abattre sur ta rive, Près de toi, songeur sans flambeau. Connais-tu ces frissons, cette horreur, ce vertige, Toi, l'autre aigle de l'autre azur? Je suis, lui dis-je, L'autre ver de l'autre tombeau. Au dolmen de la Corbière, juin 1855.