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Ce livre plaira aux mères, car il parle des enfants. Il charmera les femmes, car il est délicat et pur. Il ravira les poètes, car il est plein de la poésie la plus naturelle et la plus fine

Stupéfait, le jeune homme se rebiffa: Pardon, mademoiselle, je n'ai pas demandé votre main. Votre mère a tâté le terrain, comme on dit si gentiment. Les mères forment beaucoup de projets pour leur fils... Si flatteur que soit celui-ci, il ne correspond pas

Une fois par semaine, on assemble le chapitre; la prieure préside, les mères vocales assistent. Chaque soeur vient

On n'a pas assez remarqué, combien il arrive souvent que les fils des pères malheureux sont les portraits de leurs pères. Leurs mères semblent les avoir conçus, dans la pensée fixe et peureuse de l'image du mari qu'elles trompaient. Ils ressemblent

Sa plume et son aiguille sont également actives, et c'est tout en brodant qu'elle fait de véritables sermons, qui ne seraient pas indignes des plus grands prédicateurs. Elle trace, en termes excellents, le portrait des religieuses et celui des mères de famille.

À la fête du dieu Tlaloc, on sacrifiait des petits enfants que des mères pauvres vendaient aux prêtres. À la déesse des fleurs, en avril, on n'offrait que des fleurs. Au dieu du ciel, en mai, on offrait des plumes, des animaux et des jeunes filles qui se consacraient au service du temple. À la fête du feu, tout le peuple se rendait

«À cette table nous sommes deux aujourd'hui et tu seras seule, élève et fortifie ton coeur. Mets devant toi l'histoire héroïque de nos mères, lis ce qu'elles ont fait et voulu, leurs dévouements suprêmes, leur glorieuse foi de 89, qui, dans une si profonde union, dressa l'autel de l'avenir.

Puis, les attirant dans ses genoux l'une après l'autre, lissant leurs cheveux, renouant leurs rubans, et les lâchant ensuite avec cette douce façon de secouer qui est propre aux mères, elle s'écria: Sont-elles fagotées! Elles vinrent s'asseoir au coin du feu. Elles avaient une poupée qu'elles tournaient et retournaient sur leurs genoux avec toutes sortes de gazouillements joyeux.

Un jour elle s'avisa de rassembler tous les enfants pauvres dont les mères travaillaient aux champs et de les mener chez la Thibaude, qui était blanchisseuse de son état. «Eh! mère Thibaude, lui dit-elle, voil

Oh! Hélène est encore un baby!... Tu trouves? petite Nisette, tu es comme toutes les mères... tu couves la coque vide de l'œuf sans t'apercevoir que le poussin a ses ailes et qu'il vole... tiens, regarde...